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Le temps de récupération recommandé entre deux cures de stéroïdes anabolisants

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Article source: MESO-Rx français

Question : «Comment de temps de récupération dois-je prendre entre deux cures?»

Bill Roberts : La première chose à prendre en compte est que le rétablissement du HPTA (axe hypothalamo-hypophyso-testiculaire) après une cure, doit toujours être complet avant d’entamer une nouvelle cure.

Quand une cure de stéroïdes anabolisants est très courte, comme deux semaines, le rétablissement peut être presqu’immédiat. Lorsqu’elles sont bien planifiées, les cures de stéroïdes de longueur modérée, comme 8 semaines, permettent souvent une récupération dans une période aussi courte que deux semaines.

Après de longues cures de stéroïdes, comme 12 semaines ou plus, et spécialement celles de 14 semaines ou plus, ou aussi celles qui n’ont pas été bien programmées, la récupération sera prolongée.

D’abord, vous devez attendre que la production naturelle de testostérone soit de retour à la moitié de la fourchette normale voire plus, cela sans aucune aide de médicament.

Cela dit, le temps entre deux cures de stéroïdes est relié au temps pendant lequel on a utilisé les stéroïdes anabolisants, et inclut le temps d’élimination après la dernière injection. Une autre façon de le dire est qu’il doit y avoir un équilibre entre le nombre de semaines où vous avez utilisé les stéroïdes et celui où vous ne les utilisez pas.

Personne ne peut vous donner une réponse précise. Le temps avec stéroïdes versus le temps sans stéroïdes se modifie peu à peu.

En parlant de façon générale,

  • Être « off » le double du temps que l’on est « on » est un choix assez conservateur pour la plupart de ceux qui cherchent à bâtir plus de muscles et cela peut donner d’excellents résultats. La seule raison pour laquelle on pourrait être encore plus conservateur est si on désire seulement maintenir.
  • Être autant de temps « off » que de temps « on » est modérément agressif. Quand les cures sont bien planifiées, il n’y a généralement aucun problème avec ce choix, et évidemment, cela peut donner des résultats plus rapides que le choix précédent.
  • Être seulement la moitié du temps « off » que de temps « on », est à peu près le plus agressif que je recommanderais à une personne consciente de sa santé. Il faudra vérifier que la récupération a vraiment complètement eu lieu et faire ses prises de sang devient plus important pour une telle utilisation.

Donc il n’y a pas une seule réponse, mais ce que je viens de décrire s’est avéré utile pour beaucoup et les a aidé à faire leurs choix.

Le temps de récupération recommandé entre deux cures de stéroïdes anabolisants

Le temps de récupération recommandé entre deux cures de stéroïdes anabolisants

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L’utilisation stratégique de quatre genres de testostérone : cypionate, énanthate, propionate et suspension

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Article source: MESO-Rx français

Question : «J’ai essayé quatre différentes testostérones : cypionate, énanthate, propionate et suspension. Est-ce que je peux me faire un programme sur mesure pour les utiliser à mon avantage, ou est-ce qu’il n’y a pas vraiment de différence?» 

Bill Roberts : La principale différence entre elles est le temps pendant lequel elles sont actives.

Il y a aussi des différences dans les quantités de testostérone contenues dans un milligramme de médicament. Dans l’ordre décroissant de concentration, il y a la suspension, le propionate, l’énanthate et le cypionate.

Dans la pratique, je vous suggère d’oublier tout ça. Personne n’en tient compte pour décider leur dosage de testostérone. C’est un point qui peut être passé sous silence sans problème.

L’ordre dans lequel je les énumère plus haut est aussi celui de la longueur de la durée d’action, de la plus courte à la plus longue.

Les cypionates et énanthates de testostérone peuvent être utilisées de façon interchangeable. La demi-vie de l’énanthate est probablement de 4 à 5 jours et celle du cypionate environ un jour de plus. Les deux s’éliminent du système relativement lentement après une cure. Il y a donc une longue période où leur niveau dans le corps reste ni assez haut pour permettre à la croissance de continuer, ni suffisamment bas pour permettre au corps de récupérer.

Le propionate de testostérone a une demi-vie beaucoup plus courte, à peu près deux jours. Du coup son élimination du corps à la fin d’une cure est rapide.

Par demi-vie, je parle du temps qu’il faut pour que le taux d’un médicament dans le corps chute de 50%. Par exemple, si un médicament a une demi-vie d’une journée, alors une journée après la cure, son niveau aura baissé de moitié, après deux jours il ne sera plus qu’à un quart, et après trois jours 1/8, etc…

La suspension de testostérone est active pendant un temps variable, d’au moins plusieurs jours et pouvant aller jusqu’à une semaine. Le modèle selon lequel le niveau redescend est pourtant différent de celui des médicaments qui ont une demi-vie. Ici les particules du médicament se dissolvent lentement et rétrécissent. La libération diminue au fur et à mesure que leur surface rapetisse. Au bout d’un certain temps, les particules vont disparaître complètement. Quand elles sont toutes presque dissoutes, la suspension de testostérone n’est plus active.

Le temps pendant lequel cette testostérone est active dépend donc de la taille de ses particules. Cela varie selon les produits. Pour parler en général, les produits qui sont plus laiteux et prennent plus de temps à sortir de suspension, et qui peuvent facilement passer au travers de la plus fine des aiguilles auront une durée d’action plus courte que le produit plus grossier.

Une bonne suspension de testostérone pourra être utilisée comme le propionate de testostérone.

Je recommande de garder le propionate et la suspension pour la fin d’une cure, pour permettre une transition plus rapide des hauts niveaux qui permettent des gains vers les bas niveaux qui permettent la récupération. Il n’y a aucun avantage à passer une longue période après la dernière injection où les niveaux seront encore trop hauts pour la récupération mais trop bas pour permettre des gains supplémentaires. Non seulement il n’y a pas d’avantage, mais il y a un inconvénient : cela fait obstacle à la récupération.

Une utilisation stratégique du propionate et de la suspension à la fin d’une cure accélère le rétablissement.

L'utilisation stratégique de quatre genres de testostérone : cypionate, énanthate, propionate et suspension

L’utilisation stratégique de quatre genres de testostérone : cypionate, énanthate, propionate et suspension

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Quand est-ce qu’une cure se finie vraiment?

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Article source: MESO-Rx français

Question : «Pour planifier une cure de stéroïdes anabolisants, quand dois-je considérer que la cure est terminée ? A la fin de la dernière semaine où j’ai pris les stéroïdes ou bien lorsque les stéroïdes ont été évacués de mon système?»

Bill Roberts : Vous pouvez choisir l’un ou l’autre si vous calculez toujours de la même façon. Je préfère calculer la longueur d’une cure sur combien de temps les niveaux de stéroïdes anabolisants sont suppressifs.

Par exemple, supposez que quelqu’un pense prendre 2000 mg par semaine de cypionate de testostérone. On pourrait penser que ce n’est pas réaliste mais selon les individus, cela est tout à fait possible. Supposez que cette personne fasse attention à sa santé et qu’elle veuille une prompte récupération. Cela peut aussi être réaliste: beaucoup d’utilisateurs à ce niveau font très attention à ce qu’ils font.

Cette personne sait que sa récupération après une cure planifiée de 10 semaines peut être plutôt rapide et que si les cycles sont plus longs, la récupération le sera aussi. Elle voudra donc un cycle de 10 semaines.

Et bien, s’il calcule sur les 10 semaines d’injections, la récupération n’ira pas comme il l’espère.

Simplifions les choses et arrondissons la demi-vie du cypionate de testostérone à exactement une semaine, même si en fait c’est un peu moins que ça.

A la fin de la semaine 11, ses niveaux de testostérone injectés sont encore aussi élevés que s’il s’injectait 1000 mg par semaine. Ces niveaux sont bien trop hauts pour permettre de récupérer. Probablement la raison pour laquelle il a planifié cette cure à 2000 mg par semaine est qu’il sait qu’il ne pourrait pas atteindre un nouveau record à 1000 mg par semaine, encore moins après avoir culminé après 10 semaines à 2000 mg par semaine. Donc la semaine 11 ne lui permet ni de continuer sa croissance, ni de récupérer.

A la fin de la semaine 12, ses niveaux sont encore comme s’il s’injectait 500 mg par semaine. Toujours pas de récupération et aucun gain supplémentaire non plus.

Même à la fin de la semaine 13, les niveaux sont toujours trop hauts pour une récupération. Une autre semaine de perdue.

Seulement vers la semaine 14 les niveaux pourront être suffisamment bas pour espérer pouvoir récupérer. Mais maintenant après autant de semaines d’inhibition, la récupération va être lente, peut-être même très lente pour lui.

Ce n’était pas ce qu’il recherchait. Il aurait voulu avoir une récupération rapide associé à seulement 10 semaines d’inhibition, après avoir eu 10 semaines de gains importants.

Mais cette situation est ce qui peut se produire lorsqu’on calcule par semaine d’injection plutôt que par semaine d’inhibition.

En planifiant par rapport aux semaines d’inhibition, il aura probablement une récupération rapide. Il ajustera la cure de stéroïdes là où la transition sera rapide d’un niveau de 2000 mg par semaine à un niveau suffisamment bas pour permettre la récupération, tel qu’un niveau de 100 à 200 mg par semaine.

Cela se fait en prenant des esters à action rapide, des suspensions et/ou des produits oraux vers la fin de la cure, au lieu d’esters à action prolongée.

Quand est-ce qu'une cure se finie vraiment?

Quand est-ce qu’une cure se finie vraiment?

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Est-ce que bloquer le cortisol donne des gains de muscles ressemblant à ce qu’on obtient par les stéroïdes?

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Question : «Le corps est sans cesse en train de construire et de démolir. A part quelques publicités et quelques articles, tout le monde semble être concentré sur la partie anabolisante et pas sur le rôle du cortisol dans la phase de catabolisme. Est-ce que je peux obtenir des gains de muscles comme avec des stéroïdes en bloquant le cortisol?»

Bill Roberts : Non.

Depuis quelques temps maintenant, d’excellents anti-aromatases pharmaceutiques sont disponibles, particulièrement le letrozole et l’Arimidex. Beaucoup n’ont jamais expérimenté le Cytadren ou l’ont oublié.

Mais il y a une quinzaine d’années et même avant, le letrozole et l’Arimidex étaient presque impossibles à trouver et très chers. Que faisait-on pour réduire l’estradiol ? D’habitude on utilisait Cytadren, si on faisait quelque chose.

Maintenant les anti-aromatases ne semblent pas être reliés à votre question sur le catabolisme mais Cytadren était bien différent du letrozole et d’Arimidex. Cytadren a été fait non pas pour baisser les niveaux d’estrogènes mais ceux du cortisol !

C’était et c’est toujours très efficace. Vous pouvez baisser votre taux de cortisol autant que vous voulez avec Cytadren. A cause de ça, quand on utilisait Cytadren comme un anti-aromatase, il devait être dosé avec précaution pour maintenir l’inhibition du cortisol dans des niveaux acceptables.

En terme de gain, quel bénéfice tiraient les utilisateurs de l’inhibition du cortisol par Cytadren ? Rien ! Absolument rien.

Les bénéfices sont des niveaux d’estradiol réduits, une fermeté augmentée pour les compétitions mais pour augmenter les gains de muscles, au mieux cela ne servait à rien.

Cytadren est toujours disponible. Il donne le degré d’inhibition de cortisol que vous voulez, petit ou grand. Mais personne aujourd’hui n’utilise Cytadren pour aider à construire du muscle. En tout cas personne qui a des niveaux normaux de cortisol.

C’est la raison pour laquelle ce n’est pas la peine de regarder vers l’inhibition du cortisol pour avoir des gains, en tout cas pas quand les niveaux de cortisol sont normaux. Cela ne marche pas.

Augmenter l’anabolisme est bien plus efficace pour les gains que l’inhibition du cortisol. Le cortisol devrait être réduit seulement s’il est effectivement élevé.

Est-ce que bloquer le cortisol donne des gains de muscles ressemblant à ce qu'on obtient par les stéroïdes?

Est-ce que bloquer le cortisol donne des gains de muscles ressemblant à ce qu’on obtient par les stéroïdes?

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Optimisation des niveaux de cortisol pour un maximum de gain de muscle

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Article source: MESO-Rx français

Question : «Je sais que pour la santé des articulations, on a besoin que les niveaux de cortisol soient dans une fourchette normale, mais avec tous les indices que les glucocorticoïdes comme le cortisol sont cataboliques, ne serait-il pas mieux d’avoir des niveaux plus bas?»

Bill Roberts : Au moins quand les niveaux d’androgènes sont dans la moyenne voire meilleurs, aucun résultat ne m’a indiqué que les muscles se construisent plus facilement avec de plus bas niveaux de cortisol que des niveaux moyens ou moyennement élevés.

Les actions des glucocorticoïdes (GC) comme le cortisol et le dexamethasone ont été mal compris je crois. Cela a amené à une théorisation incorrecte et des produits complémentaires inefficaces.

Un excellent article parle de ce sujet : «Stimulation synergique de la myogénèse par le glucocorticoïde et le signal IGF-1»

Brièvement, dans leur étude de la cellule :

«IGF-I était utilisé à 5 nM, ce qui est suffisant pour stimuler la différentiation myogénique. Le Dexamethasone (Dex) était utilisé à une dose relativement faible de 10 μM comparé à d’autres études.

«Ensemble, Dex et IGF-I ont amélioré la différenciation morphologique par rapport à l’IGF-I seul. La quantification de la différenciation morphologique en utilisant l’indice myogénique a clairement montré que Dex réduit la fusion des myoblastes. En revanche, l’IGF-I a augmenté la fusion, qui a été encore dépassée par la combinaison d’IGF-I et Dex. Ça n’a pas seulement donné lieu à plus de myotubes, mais aussi à de plus grands.

«Comme une simple restauration de la signalisation de la synthèse des protéines par l’IGF-I n’a pas expliqué les effets synergiques de l’IGF-I et GC sur la formation des myotubes et l’expression de la myosine, l’abondance de l’ARNm spécifique du muscle pendant que la différenciation a été évaluée. Après 48 h de différenciation, l’ARNm spécifique du muscle a été quantifiée. L’expression MCK a été augmentée par l’IGF-I (90%), mais également de façon surprenante par la Dex seule (70%). La combinaison IGF-I/Dex a augmenté l’expression MCK de plus du triple par rapport à l’IGF-I ou le Dex seul, indiquant une interaction synergique.»

Les auteurs ont également analysé les données d’une étude précédente humaine avec des patients atteints de MPOC où de faibles doses de décanoate de nandrolone et de glucocorticoïdes ont été utilisées. Leurs conclusions?

«L’administration de décanoate de nandrolone(ND) en l’absence de GC n’a pas abouti à un gain significatif de FFM ou à plus de force des muscles respiratoires.”

«A l’inverse, l’administration de ND en présence de GC a amélioré de façon significative le gain de masse maigre ainsi que la force des muscles respiratoires.»

Ainsi, le bon niveau de GC peut réellement favoriser la croissance musculaire et la force, très sensiblement!

Réduire le cortisol, où il n’est pas excessif pour commencer, pourrait en fait être contre-productif. Au mieux, je pense que les résultats dans la pratique ne montrent aucun avantage à réduire le cortisol lorsque les niveaux sont déjà normaux.

Ma recommandation est de ne pas tenir compte du cortisol à moins qu’il ne soit anormalement haut.

Optimisation des niveaux de cortisol pour un maximum de gain de muscle

Optimisation des niveaux de cortisol pour un maximum de gain de muscle

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L’utilisation d’un Stéroïde Oral à Long Terme et à Faible Dose comme Alternative aux Cycles Traditionnels de Stéroïdes

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Q: “Au lieu d’effectuer des cycles qui suppriment le système pendant des semaines, j’envisage d’utiliser des stéroïdes oraux sur certains jours seulement. Une des raisons est en fait que je ne veux pas que mon poids varie de 9 à 15 kg en une fois car cela susciterait des questions. Est-ce que la totalité des gains en un an dépend de la quantité totale de stéroïdes que je prends par année, mais pas de la manière dont je programme leur prise?”

A: Je ne peux pas vous dire pertinemment que vous ne pouvez pas obtenir un résultat similaire à celui des cycles traditionnels de stéroïdes anabolisants en adoptant cette idée, en particulier si vous pensiez à un résultat modeste.

Quoi qu’il en soit, il manque véritablement de preuves pour corroborer cette idée. Je ne l’ai jamais vu accompagnée d’un succès qui mérite d’être mentionné. D’un autre côté, cette idée a été rarement essayée, donc je n’en ai qu’une poignée d’exemples. Il se peut aussi qu’un entrainement moins ciblé et moins engagé avait été fait avec l’utilisation de stéroïdes de manière moins ciblée et moins engagée.

Du point de vue pharmacologique, il y a des raisons pour lesquelles le fait d’utiliser des stéroïdes anabolisants pendant certains jours et non pas d’autres ne pourrait donner autant de résultats qu’une utilisation permanente et continue. Le processus biologique activé par le récepteur d’androgène n’est pas immédiat et il faut plusieurs jours pour qu’il soit complet. Un échec dans le maintien des taux élevés d’androgènes durant le processus pourrait limiter les résultats. Mais ceci n’est pas un argument décisif. Par exemple, les taux de GH (hormone de croissance) n’ont pas à être maintenus pour qu’une activité biologique permanente soit fournie.

Ce qui est concluant, c’est que le maintien des taux élevés d’androgènes est efficace, au-delà du doute. Des pics qui vont et qui viennent? Cela n’est pas prouvé, et la preuve qu’il y a c’est que cela ne fonctionne pas très bien.

Ainsi, si vous avez envie d’essayer avec cette idée, vous pouvez le faire, mais les résultats seront probablement inférieurs.

Pour calmer vos appréhensions, tout en faisant au moins autant de gains par an qu’avec les cycles traditionnels, je vous suggèrerais des cycles de 2 semaines. Le progrès annuel total est typiquement aussi bon sinon meilleur qu’avec des cycles plus longs, mais la transformation du corps se fait en plus petits bonds.

L’autre raison pour laquelle il ne faut pas dépendre uniquement des médicaments oraux est leur toxicité sur le foie. Avec des cycles de stéroïdes correctement planifiés, au plus certains des stéroïdes utilisés seront hépatotoxiques, parce que la moitié ou plus de la quantité totale utilisée seront des injectables non-alkylés. En dépendant des seuls stéroïdes oraux, la quantité totale sera pratiquement hépatotoxique. Il est donc préférable d’obtenir la majorité ou la totalité des effets par les injectables plutôt que de dépendre uniquement des médicaments oraux.

L’utilisation d’un Stéroïde Oral à Long Terme et à Faible Dose comme Alternative aux Cycles Traditionnels de Stéroïdes

L’utilisation d’un Stéroïde Oral à Long Terme et à Faible Dose comme Alternative aux Cycles Traditionnels de Stéroïdes

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Le Timing Journalier et Hebdomadaire Pour les Stéroïdes Anabolisants Oraux

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Q: “Comment dois-je planifier mes prises de stéroïdes anabolisants durant la journée ou la semaine?”

A: Pour des effets anabolisants, le plus efficace est de maintenir les concentrations le plus possible tout au long de la journée, et ce, dans la limite du raisonnable. A titre d’exemple, nous pourrions comparer les prises de Dianabol à 50 mg une fois par jour et à 10 mg cinq fois par jour.

Dans la prise unique quotidienne, vous aurez environ 5 à 6 heures durant lesquelles les concentrations sanguines sont élevées ou plus élevées que dans le cas de la prise fractionnée. Mais durant le reste de la journée, les concentrations seront plus basses, habituellement trop faibles. Durant les dernières 10 heures ou plus, elles seront inutilement faibles.

Là, ceci pourrait bien fonctionner si les concentrations très élevées des quelques premières heures multipliaient les effets de cette période. Seulement, ce n’est pas le cas. Une posologie de 10 mg de Dianabol produit déjà des effets maximum.

Pendant la première partie de la journée, les deux schémas de dosage donnent sensiblement la même action comme avec le dosage plus faible plus fréquemment utilisé, mais pour le gros de la journée, le plan à prise unique produit moins d’activité.

Une administration à 5 fois par jour n’est pas non plus indispensable pour avoir de bons résultats. Pour le Dianabol, je pense que 3x/jour au minimum est un schéma raisonnable, bien que personnellement, je préfère 4 ou 5 fois par jour.

L’oxandrolone (Anavar), l’oxymétholone (Anadrol) et le stanozolol (Winstrol) ont tous des demie-vies plus longues que celles du Dianabol. En conséquence, ces médicaments peuvent être pris de façon moins fréquente. Pour ces médicaments, le minimum raisonnable est de 2 fois par jour, bien que je préfère un schéma de 3 ou 4 fois par jour.

Quant aux jours auxquels on devrait prendre des médicaments oraux, je rappellerais que lorsque le cycle est à but uniquement anabolique, le maintien des concentrations est de loin le plus efficace. Le mieux à faire est de prendre des médicaments oraux tous les jours. Cependant, certains aiment prendre des médicaments oraux avant l’entrainement et dépendent seulement des stéroïdes injectables pour le reste de la semaine. Si choisir des stéroïdes anabolisants injectables suffit à la personne et lui convient, c’est tant mieux.

Mais si le cumul des stéroïdes dépend des médicaments par voie orale, il vaut mieux les prendre chaque jour. Toutefois, il est tout à fait acceptable de basculer la prise des médicaments oraux avant et/ou après l’entrainement si vous le désirez, ou d’en ajouter à ces moments. Lorsque vous ajoutez des médicaments oraux à ces moments particuliers, le dosage quotidien total doit être compris dans les quantités classiques.

Dans certains cas, la prise des médicaments oraux a pour but d’optimiser l’agression par l’entrainement accru. Dans ces cas, assurez-vous que le reste du cumul de stéroïdes va fonctionner par lui-même comme prévu, puis, utilisez des stéroïdes oraux pour optimiser l’effet en pré-entrainement.

Le Timing Journalier et Hebdomadaire Pour les Stéroïdes Anabolisants Oraux

Le Timing Journalier et Hebdomadaire Pour les Stéroïdes Anabolisants Oraux

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Dosage Croissant et Décroissant des Stéroïdes Anabolisants Oraux Dans un Cycle de Stéroïdes

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Q: «Comment dois-je planifier mes prises de stéroïdes anabolisants oraux en une semaine dans un cycle de stéroïdes? Dois-je faire croître ou décroître leur dose ?”»

A: Habituellement, dans un cycle, les stéroïdes anabolisants oraux ont pour objectif principal d’optimiser les effets du cumul de stéroïdes. Dans le schéma le plus simple, faites des prises de médicaments oraux identiques pour chaque semaine, à moins que vous ne rencontriez de nouvelles données pendant le cycle. Il n’y a aucune raison de les utiliser en dosage croissant, décroissant ou en « diamant ».

Cependant, un changement de la dose des médicaments oraux peut être motivé par d’autres raisons.

Un facteur est qu’il est préférable d’utiliser les stéroïdes anabolisants oraux pendant pas plus de 6 semaines à la fois. Les stéroïdes alkylés ont une toxicité sur le foie, or, presque tous les oraux sont alkylés. Lorsque l’utilisation des stéroïdes oraux est limitée à 6 semaines et que le cycle dure plus longtemps que cela, évidemment, certaines semaines seront sous stéroïdes oraux et d’autres ne le seront pas.

Dans plusieurs cas, les dernières semaines sont les meilleures pour la prise orale. Une des raisons à cela est que les dernières semaines du cycle nécessitent l’addition de médicaments plus que les premières semaines, vu que le corps a besoin de moins d’aide pour réaliser des gains de masse durant les premières semaines.

Un autre avantage à l’utilisation des stéroïdes oraux à la fin d’un cycle, c’est qu’après la dernière injection, les concentrations du stéroïde injecté chutent d’où une efficacité réduite. Les stéroïdes oraux peuvent vraiment augmenter l’efficacité pendant cette période.

Mais dans d’autres schémas, les premières semaines peuvent nécessiter une addition de médicaments. Il y a un cas courant dans lequel l’utilisateur souhaite prendre de la masse au cours des premières semaines et couper dans les dernières semaines. Ici, j’utiliserais des stéroïdes oraux dans les premières semaines. Certains stéroïdes oraux pourraient être gardés pour la fin du cycle : par exemple, prendre une dose pour 5 semaines au début et une dose pour une semaine à la fin.

Une dernière raison de changer le dosage des stéroïdes oraux pendant un cycle est si vous tombez sur de nouvelles données au cours de la progression du cycle. Par exemple, vous auriez aimé utiliser du Dianabol à 50 mg/jour, mais vous vous inquiétiez des effets secondaires et ainsi, vous avez décidé d’une dose de 25 mg/jour. Après une semaine ou deux avec la plus faible dose, votre nouvelle expérience personnelle a fait céder ces soucis. Ainsi, vous pourrez décider d’augmenter la dose. Ceci est complètement raisonnable, tout comme l’est la situation inverse.

Dosage Croissant et Décroissant des Stéroïdes Anabolisants Oraux Dans un Cycle de Stéroïdes

Dosage Croissant et Décroissant des Stéroïdes Anabolisants Oraux Dans un Cycle de Stéroïdes

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La Meilleure Façon d’Utiliser les Stéroïdes Anabolisants Oraux Dans un Cycle de Stéroïdes de Huit Semaines

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Q: «Je programme un cycle de prise de masse à une posologie d’environ 1 g de stéroïdes par semaine. J’ai de l’énanthate de testostérone à 200 mg/mL, beaucoup de Dianabol et aussi un peu d’oxandrolone. Je n’ai pas envie de prendre des stéroïdes oraux pendant plus de 6 semaines en tout. Comment planifier leur dosage semaine par semaine pour un cycle de stéroïdes de 8 semaines?»

A: Parce qu’il s’agit d’un cycle de prise de masse et que vous aurez besoin d’aide pour vos gains au cours des dernières semaines plus que pour les premières, je programmerais la prise des stéroïdes oraux pour les 6 dernières semaines.

Je commencerais les deux premières semaines avec seulement de la testostérone, et un anti-aromatase pour le contrôle sur les œstrogènes.

Le dosage convenable pour une prise continuelle serait de 200 mg en intramusculaire à l’aide d’une aiguille à insuline et ce, cinq jours par semaine. Les deux jours sans injections seraient distants de 3 ou 4 jours. Dans un exemple, les jours sans injections pourraient être les mardis et les samedis.

Si vous préférez des injections moins fréquentes mais plus massives, je vous recommanderais 500 mg deux fois par semaine.

Dans l’autre cas, je ferais un « frontload » pour que la première injection contienne 700 mg de plus que vos injections courantes. Donc par exemple, si les injections continues sont de 200 mg en une fois, votre première injection serait de 900 mg.

La raison est que durant un cycle, habituellement, votre corps obtiendra non seulement ce qui vient d’être injecté, mais aussi une quantité restante issues des injections précédentes. Lors de la première injection, vous n’avez rien qui soit issu d’injections précédentes. Le frontload apporte la quantité adéquate dans votre corps lors de la première injection.

Au début de la 3ème semaine, j’ajouterais du Dianabol à 50 mg/jour, et je réduirais la testostérone à 800 mg/semaine. L’association des deux est considérablement plus puissante que 1000 mg/semaine de testostérone; vous pouvez être rassuré quand à cette petite réduction dans le dosage de la testostérone.

La seule raison éventuelle à ne pas réduire le dosage de la testostérone à ce stade serait qu’à ce point, vous n’êtes pas vraiment satisfait des résultats d’une dose plus élevée. Si auparavant, vous aviez effectué plusieurs cycles à des doses hebdomadaires d’un gramme et plus, cela pourrait se produire. Dans ce cas, vous pouvez maintenir le dosage de la testostérone à 1000 mg/semaine tout en ajoutant le Dianabol.

Je terminerais les injections de testostérone à la moitié de la 7ème semaine. Le but de cela est qu’au début de la 9ème semaine ou aussitôt après, les concentrations seront assez faibles pour que la relance puisse commencer.

Je renforcerais la 8ème semaine avec de l’oxandrolone pour compenser les concentrations décroissantes de testostérone injectée. Soit j’utiliserais 50 mg/jour d’oxandrolone au cours de la 8ème semaine, ou je commencerais à 50 mg/jour et poursuivrais avec 75 mg/jour dans les 3 ou 4 derniers jours du cycle. La manière de s’y prendre dépend de la quantité d’oxandrolone que vous avez et de vos préférences. Pour l’une ou l’autre façon, le résultat final sera identique.

Ce cycle restera efficace au cours de la totalité des 8 semaines, puis il y aura une transition quasi-immédiate vers des concentrations d’androgènes exogènes assez faibles pour permettre une reprise rapide. Ce cycle de prise de masse sera très efficace pour quiconque n’ayant pas déjà atteint une phase de plateau à ce stade de l’utilisation des stéroïdes.

La Meilleure Façon d’Utiliser les Stéroïdes Anabolisants Oraux Dans un Cycle de Stéroïdes de Huit Semaines

La Meilleure Façon d’Utiliser les Stéroïdes Anabolisants Oraux Dans un Cycle de Stéroïdes de Huit Semaines

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Que Faire Quand une Blessure Survient Pendant un Cycle de Stéroïdes Anabolisants?

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Q: «Je suis à 5 semaines dans mon cycle de stéroïdes planifié pour 14 semaines mais j’ai des problèmes de blessures. Je pense que je peux faire tout le cycle sans nécessairement me blesser encore plus. Mais les genoux empêchent complètement mes jambes de bouger et je souffre d’une douleur aigue autour d’une de mes épaules. Je n’ai pas envie de jeter l’éponge, bien que je ne me prépare en ce moment à aucune compétition. Qu’est-ce que vous me suggérez pour optimiser mon cycle, vu les problèmes de blessures?»

A: De loin, la meilleure chose à faire serait de bien garder vos gains au chaud, de terminer le cycle tout de suite, et de recommencer un nouveau cycle quand vous serez guéri.

Je sais que c’est frustrant de devoir procéder ainsi, et ne pas achever est assimilé à une attitude de perdant alors que l’attitude « d’aller de l’avant » est assimilée avec le fait d’être un gagnant.

Cependant, agir intelligemment (choisir les meilleurs moments pour s’en sortir et les meilleurs moments pour agir de manière stratégique) va de pair avec les accomplissements.

Prenez ceci en considération : Le temps d’attente jusqu’à votre prochain cycle devrait être proportionnel à la durée de votre dernière période d’utilisation. Pour la facilité, nous allons ici égaliser les nombres de semaines avec et sans utilisation. Il s’agit d’un cycle de stéroïdes modérément agressif. Mais vous pouvez choisir une proportion différente, et dans ce cas, vous en tenir à votre propre proportion. Le principe est valable quelle que soit la proportion.

Avec un nombre égal de semaines avec et sans injection, si vous réalisez la totalité du cycle de 14 semaines, vous aurez à attendre pendant 14 autres semaines avant de commencer votre prochain cycle de stéroïdes. Ce qui équivaut à 23 semaines dès aujourd’hui, vu que vous avez 9 autres semaines restantes dans ce cycle. Et ces 9 semaines seront tout au mieux à efficacité réduite.

Ainsi, cela fait 23 semaines avant d’être capable de vraiment progresser.

En revanche, si vous écourtez ce cycle maintenant de manière stratégique, vous pourrez effectuer un cycle complètement efficace d’ici seulement 5 semaines.

Vous auriez terminé ce cycle bien avant de pouvoir commencer un second cycle si vous aviez choisi de continuer. Vous serez donc bien loin en avance.

De par eux-mêmes, les stéroïdes anabolisants n’entrainent pas de grands gains de muscles. Ils permettent d’augmenter les gains de votre entrainement et de votre régime. Je ne suis pas en train de vous révéler quoi ce que ce soit que vous ne savez pas: c’est l’entrainement qui est l’origine principale de vos résultats.

Les stéroïdes anabolisants permettent beaucoup plus d’entrainement soutenu, et donc des gains plus remarquables par l’entrainement. Lorsque l’entrainement est compromis par une blessure, les stéroïdes anabolisants sont limités dans ce qu’ils peuvent faire pour vous.

Si on prend des stéroïdes – les utilisant pendant certaines semaines de l’année uniquement – la pratique de loin la plus efficace consiste à les administrer pendant les semaines durant lesquelles vous êtes apte à vous entrainer correctement.

Cela ne signifie pas abandonner un cycle pour des problèmes mineurs, mais lorsque l’entrainement est vraiment compromis, il est préférable habituellement d’abréger un cycle. Cela donne de meilleurs résultats sur le long terme parce qu’il permet d’entamer plus rapidement le cycle suivant et permet de tirer parti de chaque prise hebdomadaire.

Que Faire Quand une Blessure Survient Pendant un Cycle de Stéroïdes Anabolisants?

Que Faire Quand une Blessure Survient Pendant un Cycle de Stéroïdes Anabolisants?

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Qu’est-ce Que Les Valeurs de l’Hormone Lutéinisante Peuvent Dire de Ma Production de Testostérone Naturelle?

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Article source: MESO-Rx français

Q: «Je me soumets fréquemment à des analyses sanguines entre les cycles de stéroïdes, et ma LH est dans tous les sens. Les valeurs sont différentes même quand la testostérone est la même. Je suis toujours dans la fourchette normale, mais je voudrais figurer au dessus de la valeur élevée plutôt que d’être dans la fourchette. J’ai essayé l’ADA (acide D-aspartique) pour améliorer la LH mais je ne peux pas interpréter ses effets sur la LH car les résultats varient tellement. J’ai aussi utilisé l’HCG entre les cycles à une dose de 100 UI tous les 2 jours mais les résultats étaient inconsistants au niveau de la LH. Qu’est-ce qui se passe avec mes mesures?»

A: La LH est sécrétée par pulsions de la glande pituitaire, avec des concentrations sanguines énormément fluctuantes entre les pulsions. Si le taux chez une personne est une valeur donnée dans un échantillon donné de sang, dans un autre échantillon pris quelques minutes après, ce taux pourrait être nettement plus élevé, ou aussi fractionné.

Il est vraiment possible que la supplémentation en ADA puisse augmenter la production de LH, au moins quand la testostérone est à la limite inférieure de la normale. Une faible dose d’HCG peut aussi légèrement réduire la production de LH. Cependant, du fait de la grande variabilité instantanée des taux de LH, les petits changements dans la production journalière ne peuvent pas être déterminés par une analyse ordinaire.

Pour illustrer, supposez que nous voulions savoir lequel de deux joueurs de baseball, un joueur de champs extérieur (outfielder) et un joueur d’arrêt court (shortstop), est le frappeur le plus fort. L’outfielder frappe 40 circuits par an avec un RBI de 100, alors que les statistiques du shortstop sont loin d’être aussi bonnes.

Voici notre test : nous mesurerons la prochaine balle en jeu qu’ils vont frapper.

L’outfielder frappera-t-il la balle forcément plus loin cette fois-ci ? Non. C’est tout à fait possible qu’il ait un coup faible pendant que le shortstop la frappe durement. Un coup unique ne révèlera probablement rien concernant la différence de leurs forces. La mesure ne serait pas significative du point de vue statistique.

Cela prendrait un certain nombre de présences au bâton pour être parfaitement sûr de la question.

Alors qu’une telle mesure unique ne pourrait dire de manière sûre quel joueur de ligue majeure était un frappeur plus fort que l’autre, une mesure unique pourrait suffire pour définir la différence entre disons un adulte et un jeune enfant.

Un peu de la même façon, un échantillon de sang unique peut détecter la différence entre être en arrêt et avoir une production saine de LH.

Mais là où deux valeurs sont toutes dans la fourchette normale, les comparer ne permet pas de dire avec précision si la production journalière est plus élevée ou plus basse dans un cas contre l’autre. Un des échantillons pourrait être à un moment plus proche ou plus loin d’un pic sanguin contrairement au cas de l’autre échantillon.

Pour savoir ce que l’ADA pourrait vous apporter, mesurez la testostérone.

L’utilisation modérée de l’HCG pourrait réduire votre LH, mais comme vos valeurs n’ont pas changé de manière évidente, vous n’avez pas à vous inquiéter d’une quelconque différence.

Si le taux de testostérone est bon, des valeurs de LH aux limites supérieures de la normale peuvent être rassurantes, et des valeurs aux limites inférieures ne devraient pas vous alarmer. Ce sont les valeurs en dessous de la normale qui, habituellement, indiquent un problème.

Qu’est-ce Que Les Valeurs de l’Hormone Lutéinisante Peuvent Dire de Ma Production de Testostérone Naturelle?

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Comment Utiliser le Proviron avec les Cycles de Stéroïdes et la Thérapie de Relance (Post-Cycle)?

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Article source: MESO-Rx français

Q: «Comment dois-je utiliser le Proviron (mestérolone) pendant les cycles de stéroïdes, pendant la relance (en post-cycle) et entre les cycles?»

A: Le Proviron n’est d’aucune utilité à visée anabolisante ou pour la relance. Il ne contribue ni à construire le muscle ni à reprendre les productions de LH et de testostérone.

Le fait qu’il ne contribue pas dans la construction du muscle est étrange. C’est le seul composé que je connaisse qui active le récepteur d’androgène en étant pourtant sans valeur dans ce sens. La raison est probablement la désactivation métabolique dans le tissu musculaire.

Ce qui est moins étrange, c’est qu’il est inutile dans la reprise de la production de LH naturelle et de testostérone. Aucun stéroïde anabolisant n’est capable de fournir de l’assistance dans ce sens : au contraire, leurs effets sont généralement inhibitoires.

Il y a une divergence d’opinions concernant le fait que le Proviron ne contribuerait pas seulement à la reprise des taux d’hormones naturelles ou s’il empêcherait vraiment la reprise.

Ses effets sur la LH sont difficiles à déterminer parce que chaque effet qu’il peut avoir sur la LH est tout au plus modéré, mais les taux de LH varient toujours beaucoup d’un moment à l’autre. Ainsi, si une mesure est un peu plus basse alors que le Proviron est utilisé, est-ce parce que le Proviron a fait baisser la LH ou parce qu’il se trouve que l’échantillon de sang est dans une valeur entre deux pics?

Ceci est vraiment difficile à déterminer. Une étude conduite il y a 40 ans ou plus a détecté un effet inhibitoire sur les taux de LH dès 50 mg de Proviron par jour. La réduction était significative du point de vue statistique, mais les concentrations se situaient en moyenne dans la fourchette normale. D’autre part, un certain nombre d’études scientifiques faites depuis se sont trouvé incapables de détecter les effets du Proviron sur la LH avec une significativité statistique.

Alors que cela sonne probablement comme une contradiction, ne pas détecter d’effet avec une valeur statistique est différente de détecter qu’il n’y a aucun effet.

Malheureusement, les auteurs écrivent typiquement qu’il n’y « avait » aucun effet, plutôt que de situer la question dans son contexte.

Il est juste de dire que d’après la totalité des preuves scientifiques, un quelconque effet inhibitoire du Proviron sur la production de LH est, tout au mieux, modeste. Lorsque la reprise est totale après un cycle, un quelconque effet inhibitoire issu d’une utilisation occasionnelle n’a aucune importance.

Cependant, durant la phase de relance, en post-cycle, j’ai découvert que l’utilisation du Proviron produit des effets notoires défavorables sur la reprise, aussi, je déconseillerais son usage.

Auparavant, le Proviron était utilisé pendant les cycles comme un anti-œstrogène d’action faible, mais aujourd’hui, l’usage d’un anti-aromatase est une approche de loin meilleure.

Le Proviron peut être certainement utile pour donner l’impression d’avoir de bons taux d’androgènes, et d’augmenter les performances érectiles dans certains exemples. En termes d’apparence physique, il peut quelquefois améliorer l’endurcissement apparent ou la vascularité. Je n’ai jamais connu de personne qui l’ait utilisé pour une séance photo, mais si j’en faisais une moi-même et que j’avais du Proviron sous la main, je l’utiliserais.

C’est bien d’utiliser occasionnellement le Proviron entre les cycles, si pour une raison quelconque, vous appréciez son usage. Il n’existe pas de dose exacte nécessaire, mais par exemple, la dose typique pour une prise occasionnelle est de 50 mg. La prise de quantités telles que 100 mg ou 150 mg ne présente aucun danger, mais utiliser des doses plus élevées n’apporte pas forcément plus de bénéfices. Je limiterais l’utilisation à pas plus qu’une fraction du temps.

Comment Utiliser le Proviron avec les Cycles de Stéroïdes et la Thérapie de Relance (Post-Cycle)?

Comment Utiliser le Proviron avec les Cycles de Stéroïdes et la Thérapie de Relance (Post-Cycle)?

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Quels Sont les Meilleurs Médicaments avec des Effets en Faveur de l’Activité Sexuelle?

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Article source: MESO-Rx français

Q: “En plus des stéroïdes, quels médicaments sont les plus utiles en faveur de l’activité sexuelle?Si j’en prends plusieurs, comment pourrais-je les cumuler? Je n’ai pas de problème en fait, mais j’aimerais être un vrai animal à certains moments de mon choix.”

A: Lorsqu’il s’agit d’effets pro-sexuels, en termes de popularité et de notoriété seulement, il y a les inhibiteurs de la PDE5. Les exemples principaux sont le sildénafil (Viagra) et le tadalafil (Cialis).

Ces médicaments inhibent la chute de la GMP cyclique dans les vaisseaux sanguins qui remplissent le pénis, fournissant une augmentation relative du flux sanguin par rapport au flux aux moments où le médicament n’est pas utilisé.

Ainsi, l’utilisateur obtient un léger effet pro-sexuel qui serait quand même survenu sans le médicament. Un effet de l’administration est que la qualité de l’érection peut augmenter d’environ un échelon de lettre. Une érection de stade « B » s’améliorait probablement vers un « A », ou bien une érection de stade « C » pourrait s’améliorer vers un « B » ou même un « B+ ».

Les inhibiteurs du PDE5 n’apportent aucune augmentation de la libido. Comme le corps peut devenir dépendant, j’éviterais une utilisation fréquente.

Les agonistes de la mélanocortine sont de loin plus intéressants. Les principaux exemples sont le Mélanotane II et le brémélanotide (PT-141). Ce sont des peptides injectables disponibles en tant que produits chimiques dans la recherche. A l’opposé des inhibiteurs de la PED5, ils n’agissent pas directement au niveau du pénis, mais au niveau du cerveau pour activer le système nerveux. Typiquement, les érections se produisent plus rapidement et le désir peut augmenter.

Généralement, les effets pro-sexuels commencent, au plus tôt, plusieurs heures après l’injection. Le report peut être égal à 8 heures après l’injection, à titre estimatif.

Le mélanotane II favorise aussi le bronzage, et dans certains cas, il assombrit les taches pigmentaires. La dose efficace est d’environ 1 à 2 mg. Beaucoup d’utilisateurs bronzeront un peu plus avec seulement 30 mg ou même moins de Mélanotane II.

Le PT-141 a peu ou pas d’effet sur le bronzage, mais peut produire des effets secondaires comme la nausée ou des douleurs dorsales. La fourchette des doses efficaces va de 0,5 mg à 2 mg.

Pour certains, les médicaments qui augmentent la dopamine sont des pro-sexuels efficaces. Parmi ceux-ci, j’estime que le plus sûr et le plus sain est certainement la sélégiline (Deprenyl), typiquement à une dose de 2,5 mg/jour.

Le pramipexole (Mirapex) constitue un autre choix. C’est un médicament qui nécessite plus de précautions. La dose couramment sans danger est de 0,25 mg avant le coucher; à mon avis, il ne faut jamais utiliser plus de 0,5 mg sauf en cas de traitement d’une maladie.

Contrairement aux inhibiteurs de la PDE5 et aux agonistes de la mélanocortine, les médicaments dopaminergiques possèdent de meilleurs effets pro-sexuels lorsqu’ils sont utilisés tous les jours plutôt que lors d’occasions spécifiques.

Pour le cumul, je n’utiliserais pas plus d’un médicament issu de chaque catégorie. Les composés peuvent être sélectionnés de n’importe quelle d’entre deux ou trois de ces classes.

De plus, quand les taux d’œstradiol sont trop élevés, un inhibiteur de l’aromatase peut avoir des effets pro-sexuels en corrigeant cette situation. Quand le taux de testostérone ou d’œstradiol est bas, l’HCG peut souvent apporter une correction, ce qui pourrait aussi améliorer les fonctions sexuelles.

(L’HCG fait augmenter légèrement l’œstradiol par le biais de l’augmentation de la testostérone, mais cette quantité peut être suffisante pour augmenter les taux d’œstradiol d’en dessous de la normale vers la limite inférieure de la normalité).

Cela pourrait être plus important de corriger les problèmes sous-jacents dans ces domaines plutôt que de chercher les médicaments sus-cités.

Quels Sont les Meilleurs Médicaments avec des Effets en Faveur de l’Activité Sexuelle?

Quels Sont les Meilleurs Médicaments avec des Effets en Faveur de l’Activité Sexuelle?

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Que Peut-on Faire Concernant la Gynécomastie Induite par la Prolactine Pendant un Cycle de Stéroïdes?

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Je m’inquiète de la gynécomastie induite par la prolactine durant mon cycle de stéroïdes, vu que j’en ai tellement lu par-ci et par-là à ce sujet. Ai-je besoin d’avoir quoi que ce soit sous la main pour contrecarrer la prolactine? Quel médicament anti-prolactine recommanderez-vous?”

A: La première chose à faire est de comprendre que dans le cadre de la gynécomastie, la prédisposition individuelle varie énormément.

La plupart des individus n’ont pas de gynécomastie préexistante, et ont seulement la prédisposition moyenne ou même moins d’en développer une. Pour ceux-là, les changements hormonaux défavorables vont causer une gynécomastie, mais ils pourraient par exemple prendre des quantités de testostérone de l’ordre de 500 ou même 750 mg/semaine sans anti-aromatase avec aucun effet sur la gynécomastie.

Certains ne présentent aucune gynécomastie, mais sont tout le temps sur le point d’en développer une. Ils peuvent développer une gynécomastie à un certain stade sans jamais utiliser de médicament de bodybuilding, mais simplement par le gain de masse corporelle ou par une fluctuation hormonale naturelle.

D’autres encore présentent déjà vraiment une gynécomastie même s’ils ne le savent pas. Une gynécomastie inconnue se serait typiquement développée pendant la puberté. Quelquefois, elle sera plus que prête à s’accroitre plus à la moindre provocation hormonale; chez d’autres, elle ne se développera qu’avec des changements hormonaux défavorables.

Votre situation sur ce spectre est le facteur le plus important.

Un taux de prolactine élevé durant un cycle de stéroïdes peut aggraver la gynécomastie chez les sujets prédisposés, particulièrement quand l’œstradiol est aussi élevé.

L’élévation du taux d’œstradiol constitue le facteur le plus important entrainant l’élévation de la prolactine. La limitation de l’usage des stéroïdes aromatisants ou l’utilisation d’un anti-aromatase à une dose adéquate est donc ici la meilleure solution.

Par ailleurs, des taux faibles d’hormones thyroïdiennes peuvent causer une augmentation des taux de prolactine par l’augmentation de la sécrétion de la TRH (pas la TSH), ce qui stimule la production de prolactine par la glande pituitaire. Un bilan thyroïdien peut déterminer si les taux d’hormones thyroïdiennes faibles constituent un problème, ou si cela est souhaité, le T3 peut être administré à une dose de 25 à 50 mcg par jour divisé en 2 prises.

Un médicament dopaminergique peut réduire la sécrétion de prolactine. La sélégiline (Deprenyl) est douce, et constitue un choix sûr à une dose de 2.5 mg par jour. Je ne dépendrais pas de ce médicament pour avoir de forts effets anti-prolactine : il n’est là que pour l’assurance, pour ainsi dire, si vous vous inquiétez. Le pramipexole (Mirapex) à une dose allant de 0,25 à 0,5 mg pris avant le coucher pourrait être un choix plus aggressif. Je serais réticent à poursuivre dans cette voie à moins d’une confirmation des problèmes avec la prolactine à l’aide d’une analyse sanguine. (Beaucoup supposent des taux élevés de prolactine sans aucun test sanguin. Et cette supposition peut aussi bien être fausse dans plusieurs cas).

Si l’effet total anti-glucocorticoïde d’un cumul de stéroïdes est puissant, cela pourrait augmenter quelque peu la prolactine par la réduction de l’effet inhibiteur du cortisol sur la production de prolactine.

Lorsque l’individu n’est pas sur le point de développer une gynécomastie en premier lieu et lorsque l’œstradiol est maintenu dans la fourchette normale, aucun de ces effets n’a de l’importance.

Mais pour ceux qui sont prédisposés et sur les nerfs, et qui ont besoin de toute l’aide possible pour combattre la gynécomastie, ce sont des manières de modérer la sécrétion de prolactine.

Que Peut-on Faire Concernant la Gynécomastie Induite par la Prolactine Pendant un Cycle de Stéroïdes?

Que Peut-on Faire Concernant la Gynécomastie Induite par la Prolactine Pendant un Cycle de Stéroïdes?

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Le Trenbolone a-t-il une Activité Progestative ou Augmente-il la Prolactine?

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Article source: MESO-Rx français

Q: « Le trenbolone est-il progestatif ? Ou bien le trenbolone augmente-t-il la prolactine? Un ami a effectué un cycle avec 500 mg/semaine de testostérone et 500 mg/semaine d’énanthate de trenbolone et a présenté une gynécomastie, alors qu’auparavant, il n’a utilisé que la testostérone et s’en est bien porté. Cela a suscité mon inquiétude concernant le trenbolone. »

A: Le trenbolone possède une activité progestative proche de zéro, comme cela a été découvert par la science vétérinaire et les études sur les cellules. Sa capacité à activer le récepteur de progestérone (RP) est environ 100 fois moins faible que celle de la progestérone elle-même. Les taux de trenbolone atteints durant les cycles de stéroïdes ne peuvent pas activer le RP même à une petite fraction autant que ceux entrainés par les taux de progestérone naturelle.

Au moins une étude vétérinaire a aussi montré que le trenbolone n’augmentait pas la prolactine de manière mesurable, en dépit des taux décroissants des hormones thyroïdiennes.

Dans le cas du cycle de votre ami, la prolactine aurait bien pu augmenter. Lorsqu’un stéroïde aromatisant est utilisé et que les taux d’œstrogènes ne sont pas contrôlés avec un anti-aromatase, les taux d’œstradiol s’accroissent généralement. Cela cause souvent (mais pas toujours) une augmentation de la prolactine, et parfois une élévation exponentielle.

Il est impossible de déterminer pourquoi la gynécomastie s’est développée chez votre ami cette fois et non dans les occasions précédentes, en particulier vu qu’aucune analyse sanguine n’a été effectuée. Une augmentation non contrôlée de l’œstrogène y est certainement pour quelque chose. Des taux élevés de prolactine entrainés par l’augmentation de l’œstrogène pourraient être des facteurs favorisants.

Le trenbolone authentique agit en fait contre la différentiation oestrogénique de la glande mammaire, du moins cela a été démontré en science vétérinaire.

Il est difficile d’attribuer une cause lorsque la gynécomastie survient pendant les cycles de trenbolone. Parfois, comme dans ce cycle, d’autres causes pourraient tout à fait l’expliquer. Dans d’autres, le produit (le trenbolone) semble être la seule cause plausible.

Lorsque les préparations vétérinaires et pharmaceutiques étaient les seules sources de trenbolone, la gynécomastie n’a jamais été attribuée à ce stéroïde. Cela ne survient pas non plus quand le trenbolone est préparé par soi-même à l’aide de Finaplix H (et non S). Pour cette raison, je doute que de l’authentique trenbolone puisse causer une gynécomastie.

Cependant, les préparations vendues comme du trenbolone ont favorisé la gynécomastie dans plusieurs cas. Substitution, oxydation du matériel ou une autre raison quelconque m’est inconnue. Je conseillerais personnellement la préparation par la poudre, après avoir vérifié que la poudre est légèrement jaune, mais pas marron, et a un goût fortement épicé. Cela confirmera au moins que le produit contient du trenbolone. Une autre alternative est de préparer soi-même avec du Finaplix H. En faisant ainsi, vous pourrez en être absolument sûr.

Le Trenbolone a-t-il une Activité Progestative ou Augmente-il la Prolactine?

Le Trenbolone a-t-il une Activité Progestative ou Augmente-il la Prolactine?

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Serait-ce une Bonne Idée d’Effectuer des Cycles de Stéroïdes de Durée Intermédiaire?

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Article source: MESO-Rx français

Q: “La plupart des cycles de stéroïdes anabolisants que vous décrivez durent soit entre 8 et 12 semaines, soit exactement 2 semaines. Pourquoi est-ce que lorsque la durée d’un cycle excède 2 semaines, vous suggérez d’aller jusqu’à 8 semaines, et parfois plus? Y a-t-il des situations dans lesquelles les cycles de durée intermédiaire sont plus logiques pour un cas particulier? »

R: Absolument, de telles situations existent.

La raison pour laquelle certains cycles de stéroïdes durent exactement 2 semaines plutôt qu’un peu plus ou un peu moins, c’est que la reprise est remarquablement rapide lorsque la durée de la suppression est de 14 jours ou moins, mais qu’au-delà, elle devient plus lente. Ainsi, en dépassant cette durée, dans la plupart des cas, on pourrait tout autant aller considérablement bien plus loin. Et il y aurait seulement rarement une raison, si jamais elle existait, d’aller moins de 14 jours.

Une des raisons de la rareté relative des cycles de 3 à 7 semaines est que j’écris des cycles pour accommoder les objectifs et les préférences de chaque lifter, plutôt que de tout leur imposer. Par exemple, des cycles de 8 à 10 semaines sont très couramment demandés, mais je pense que personne n’a jamais demandé un cycle de 7 semaines ou de 9 semaines. C’est juste que la plupart préfèrent que leurs cycles durent un nombre pair de semaines. Mais un nombre impair de semaines peut tout aussi bien fonctionner.

Un domaine où les nombres de semaines intermédiaires, comme 3-7 semaines peuvent être spécialement appropriés réside dans les cycles d’entrainements dont les charges et les volumes varient de semaine en semaine. Que ce soit dans le cas où un seul cycle d’entrainement comme celui là est effectué, ou plusieurs entrainements consécutifs, cela serait plus logique d’utiliser respectivement les stéroïdes anabolisants selon les cycles.

La durée d’utilisation du stéroïde ne doit pas toujours être égale à la longueur du programme d’entrainement, mais peut se concentrer sur les semaines les plus exigeantes ou celles où les gains sont plus probables.

Lorsque les cycles d’entrainement sont effectués successivement, ou de manière répétitive avec différents entrainements entre eux, il faudrait aussi penser à la façon dont les semaines « off » (en arrêt) sont agencées. Ceci tend à varier énormément en fonction du cas de chaque individu, mais en appliquant les principes adéquats, on s’organise mieux afin de bien réussir.

Serait-ce une Bonne Idée d’Effectuer des Cycles de Stéroïdes de Durée Intermédiaire?

Serait-ce une Bonne Idée d’Effectuer des Cycles de Stéroïdes de Durée Intermédiaire?

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Comment Utiliser les Stéroïdes avec le Programme Smolov Jr. Bench et le Cycle Squat Smolov?

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Article source: MESO-Rx français

Q: “J’aimerais effectuer un ou plusieurs cycles Smolov Jr pour booster mon développé-couché, avec l’aide d’injections de propionate de testostérone. Je suis arrivé à 124 kg 1 RM à une masse corporelle de 90 kg, modérément maigre. Je veux atteindre 142 kg. Que pensez-vous de ce programme, comment vais-je procéder, et comment vais-je y intégrer les cycles de stéroïdes anabolisants Et aussi, si plus tard, j’effectuais un cycle squat Smolov de 13 semaines, comment je planifierais l’usage des stéroïdes anabolisants avec? »

R: Le Smolov Jr est un grand programme conçu non seulement pour faire augmenter la force, mais aussi dans certains cas pour repousser les limites de l’hypertrophie. Cependant, cela est extrêmement exigeant du point de vue physique. Son succès ne repose pas sur l’usage de stéroïdes, mais l’utilisation de stéroïdes anabolisants peut devenir réellement impressionnante en dehors des cycles Smolov Jr.

Ce vous devriez faire, c’est de vous entrainer au banc quatre fois par semaine, par exemple les lundis, les mercredis, les vendredis et les samedis. Au premier jour d’entrainement, l’idéal serait de faire 6 séries de 6 à 70% de votre 1RM. Le deuxième jour d’entrainement, vous ferez 7 séries de 5 à 75% 1RM, le troisième jour, 8 séries de 4 à 80% du 1RM et au quatrième jour, 10 séries de 3 à 85% 1RM.

Dans votre cas, la première semaine pourrait être : Lundi 190/6×6, Mercredi 205/7×5, Vendredi 220/8×4, et Samedi 235/10×3.

Au cours de la semaine 2, vous ferez la même chose mais ajoutez 4,53 kg à chaque lift.

Classiquement, vous entamerez aussi une troisième semaine, en ajoutant 2,26 kg de plus. Si vous n’allez faire qu’un cycle Smolov Jr, je pencherais sur la troisième semaine. Mais si vous prévoyez d’en faire plusieurs, il y a beaucoup à dire pour gagner vos résultats de la deuxième semaine et plutôt que d’entamer une troisième semaine, donnez-vous 2 à 4 semaines de travail moins intensif avant d’aller plus loin avec le cycle Smolov Jr suivant.

Ce conseil est basé non sur les caractéristiques des cycles de stéroïdes durant deux semaines, mais sur des résultats d’entrainements pratiques.

Que vous choisissiez de faire durer votre programme Smolov Jr de 2 ou de 3 semaines, l’utilisation des stéroïdes devrait être simultanée avec les cycles d’entrainement, et les semaines « sans » en simultané avec les semaines non-Smolov.

Ne surentrainez pas le reste du corps en faisant ceci, et ne faites aucun autre exercice sollicitant la poitrine ou d’overhead press.

Je commencerais les cycles de suivi avec les mêmes poids utilisés au cours de la deuxième semaine du cycle Smolov Jr précédent. Votre 1 RM devrait augmenter de 4,53 kg ou plus à chaque cycle; vous devez absolument gérer les augmentations.

Si plus tard, vous faites un cycle Smolov squat de 13 semaines, je vous suggèrerais de commencer l’utilisation de stéroïdes durant la troisième semaine et de continuer jusqu’à la fin. Vous devriez être capable de traverser les deux premières semaines sans assistance pharmacologique. Les 11 semaines restantes, vous vous réjouirez d’avoir tout l’aide que vous pourrez. Même au cours des semaines délestées, les stéroïdes anabolisants seront inestimables pour la reprise et pour l’hypertrophie. Je tiendrais fortement compte de la GH pendant les 11 dernières semaines du Smolov.

Comment Utiliser les Stéroïdes avec le Programme Smolov Jr. Bench et le Cycle Squat Smolov?

Comment Utiliser les Stéroïdes avec le Programme Smolov Jr. Bench et le Cycle Squat Smolov?

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Comment Utiliser le Masteron dans un Cycle de Deux Semaines

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Q: “J’ai 61 ans et je suis très actif, encore avec des taux de testostérone moyennement normaux mais je me sens différent. Mes lipides sanguins ne sont pas bons, et ma pression artérielle est dans les limites de la normale. Toutefois, je me soucie plus d’une bonne performance et de me sentir bien que de trainer le plus longtemps possible dans un état pitoyable. J’aime les cycles de stéroïdes de 2 semaines mais vous avez écrit que le dosage minimal pour ces cycles était de 1000 mg/semaine ! Je remets en question le fait si je dois gérer ça, et je doute si j’ai vraiment besoin de tant que ça. J’ai déjà un peu barboté avec les stéroïdes et j’ai un peu de Masteron. Puis-je effectuer des cycles de 2 semaines avec une posologie réduite de Masteron? »

R: La raison pour laquelle j’ai écris cela, c’est parce que pour la plupart des gens, l’objectif est de faire le maximum de résultats, ou proche de cela, et pour y arriver pendant des cycles de deux semaines, ce dosage élevé est indispensable.

Cependant, si on peut se contenter de résultats modestes, on peut en utiliser moins.

Vous aurez encore les avantages de la rapidité et de la facilité des récupérations entre les cycles, en étant capable d’effectuer fréquemment des cycles. La facilité de reprise pourrait être un élément particulièrement important pour vous, vu que la récupération après un cycle de stéroïde peut devenir plus lente avec l’âge, même avec de bons taux de testostérone naturelle.

A cause de votre tension artérielle et des soucis au niveau des lipides sanguins, et aussi du fait de votre objectif de bien-être et de performance plutôt que d’augmenter la force et la taille, une dose modeste est plus logique pour vous.

Je suggèrerais un cycle avec une administration de Masteron à 500 mg au Jour 1, à 200 m au Jour 4, et à 200 mg au Jour 8, et c’est comme ça concernant les injections de stéroïdes. Par exemple, l’HCG serait utilisée à 500 UI aux Jours 1 et 4. L’HCG sert à maintenir la production de testostérone pour que les taux d’oestrogènes ne chutent pas en dessous de la normale. La phase de relance commencerait le 15ème jour.

Je permettrais 4 semaines de pause avant le début du cycle suivant.

Surveillez votre tension artérielle et si vous détectez un problème, discontinuez.

Les meilleurs des résultats!

Comment Utiliser le Masteron dans un Cycle de Deux Semaines

Comment Utiliser le Masteron dans un Cycle de Deux Semaines

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Cycles de Stéroïdes Anabolisants pour un Programme d’Entrainement Basique

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Je me suis accumulé une bonne force en 7 ans d’entrainement, mais j’ai tout perdu lors d’une mauvaise relation. Je suis à nouveau de retour maintenant. Je sais comment m’entrainer sans stéroïdes anabolisants parce que mes 5 premières années étaient naturelles, mais je veux seulement que les choses n’aillent pas plus lentement qu’elles ne devraient. Ainsi, même si ce qu’il me faut maintenant, c’est un entrainement de base vraiment progressif identique chaque semaine, j’ai envie d’accélérer les résultats avec l’utilisation de stéroïdes. Quel type de cycle ira mieux avec ce genre d’entrainement?”

R: Tout bon cycle s’accompagne d’un entrainement de base progressif. Je choisirais soit des cycles de 8 semaines soit des cycles de 2 semaines, ou j’utiliserais les deux méthodes à des moments différents.

Un des avantages évidents des cycles de 8 semaines, c’est qu’il y aura beaucoup de satisfaction acquise rapidement. Si on comparait avec un programme de cycles de 2 semaines avec et 4 semaines sans, cela prendrait typiquement 14 semaines pour obtenir des résultats similaires à ceux qu’on accomplirait directement en 8 semaines.

Mais d’un autre côté, avec les cycles de 2 semaines, le progrès se poursuivrait directement à partir de là, tandis qu’avec les cycles de 8 semaines, il y aura un écart de 16 semaines avant de pouvoir poursuivre à nouveau ! Si on faisait une comparaison égale entre les cas où les stéroïdes ont été utilisés 1/3 du temps, où il y a eu 2 semaines d’arrêt pour chaque semaine d’utilisation. Cela se passe de la même façon dans n’importe quelle comparaison égale.

Ce qui est donc « mieux » n’est pas tellement évident à première vue. Votre choix dépendra de vos préférences personnelles.

Cependant, en général, les cycles de 2 semaines conviennent vraiment aux entrainements basiques progressifs, où il n’y a pas de vrai modèle pour les semaines d’entrainement. C’est parce qu’un tel programme est vraiment soutenu par les périodes d’arrêts plus courtes, et qu’il y a un très bon report des gains des semaines « avec » vers les semaines « sans ».

Si vous prenez les cycles de 2 semaines, je suggèrerais cependant de mettre au moins un certain modèle aux semaines d’entrainements. Il vaudrait mieux que les semaines avec se passent avec des poids relativement plus lourds, comme ne permettant que 5 à 8 répétitions, et le volume d’entrainement serait disons plus élevé de 30% par rapport à celui des semaines sans.

Si vous choisissez le chemin des cycles de 8 semaines, l’idée du volume croissant serait toujours valable. Votre entrainement durant les semaines sans pourra rester identique, mais le volume optimal d’entrainement sera moindre par rapport aux entrainements assistés.

Cycles de Stéroïdes Anabolisants pour un Programme d’Entrainement Basique

Cycles de Stéroïdes Anabolisants pour un Programme d’Entrainement Basique

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Quel Dosage Idéal des Stéroïdes Favorise la Perte de Graisse au Maximum?

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Jusqu’à quelle dose de stéroïdes anabolisants dois-je prendre pour bien accélérer la perte de graisse? Et si j’ai envie de faire un cycle de recomposition de l’organisme aux stéroïdes, pour perdre à peu près autant que je gagne de muscle pendant le cycle, sur quel schéma dois-je planifier les semaines? La perte de graisse d’abord puis le gain de muscle, ou l’inverse, ou les deux continuellement pendant tout le cycle?”

R: Comparé à l’état naturel, même le dosage à 500 mg/semaine (la totalité des stéroïdes utilisés en cumul) est suffisant pour une amélioration tangible dans la perte de graisse. Il y aura plus d’amélioration au fur et à mesure que le dosage augmente jusqu’à environ 1000 mg/semaine. S’il pourrait y avoir plus d’amélioration encore au-delà de ceci, je ne le trouve pas remarquable ni sûr.

Dans quelques cas, il y a eu des résultats remarquables avec des dosages quasiment faibles, comme avec de la testostérone à 250 mg/semaine ou même du Dianabol à 9 mg/jour (aussi impair qu’est ce nombre, c’est exactement la quantité pour ce cas particulier). Toutefois, c’est inhabituel, et cela semble être en lien avec les personnes qui ont des taux de testostérone naturelle quelque peu bas. Généralement, une dose de 500 mg/semaine est le minimum raisonnable pour un cycle de stéroïdes visant à la perte de graisse.

Que ce soit pour perdre d’abord de la graisse et gagner du muscle ensuite, ou faire l’inverse, tout dépend du cas. La règle d’or est d’accomplir la tâche la plus facile pour soi en premier.

Par exemple, si vous savez que vous pouvez faire tomber 4,5 kg de graisse de façon relativement simple mais qu’acquérir 4,5 kg de muscle sera un vrai défi, par tous les moyens, perdez de la graisse pendant les premières semaines du cycle avec idéalement un volume d’entrainement quasiment élevé. Votre corps sera ensuite dans un état grandement réceptif au gain de muscle durant les semaines suivantes, en raison du volume élevé d’entrainement antérieur et à la tendance homéostatique de revenir au poids initial, avec dans ce cas, du gain musculaire. Sans se demander pourquoi, ceci a tout simplement semblé bien fonctionner.

Ou si, d’un autre côté, devenir plus maigre que maintenant vous est plus difficile mais que vous savez que vous pouvez gagner la quantité de muscle prévue en question de semaines, commencez par gagner du muscle. Cela contribuera à la perte de graisse qui va suivre, parce que le muscle ajouté augmente la vitesse du métabolisme, et aussi à cause de la tendance homéostatique à revenir au poids habituel, et dans ce cas avec une perte de graisse. Et aussi, sans considérer la raison, ces deux cas fonctionnent bien dans la pratique.

Gagner du muscle pendant que l’on perd de la graisse, peut être fait simultanément, mais en général, ce n’est pas la meilleure approche. Je préfèrerais plus considérer cela comme étant un probable résultat inattendu dans certains scénarios d’entrainements, où des programmes très intensifs visant à obtenir le maximum de force pourraient résulter en une perte de graisse malgré les meilleurs efforts pour manger suffisamment. Mais en tant que plan intentionnel, la plupart du temps je ne viserais pas à accomplir à la fois et la perte de graisse et le gain de muscle au même moment au cours d’un cycle de stéroïdes.

Quel Dosage Idéal des Stéroïdes Favorise la Perte de Graisse au Maximum?

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