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Des Cycles de Stéroïdes Instinctifs pour un Style d’Entrainement Instinctif?

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Je me suis toujours entrainé de façon naturelle et j’ai fait de bons progrès, bien que maintenant, les choses se sont enlisées. Il y a une chose que je n’aime pas dans les cycles de stéroïdes, c’est tout ce planning. Je suis un instinctif en matière d’entrainement. Par exemple, je ferais des pyramides pendant un bout de temps, et puis je ferais les échelles un certain temps, puis je ferais autre chose. Quoi que ce soit, je continue juste d’ajouter du poids chaque semaine jusqu’à ce que ça ne marche plus, et je reprends. De quelle façon puis-je utiliser des stéroïdes anabolisants pour accompagner mon style d’entrainement?”

R: Comme vous le dites, les cycles de stéroïdes sont généralement planifiés dans les détails. Mais en fait, cela n’est pas nécessaire, sauf pour la phase de relance qui doit être planifiée. Et même là, une fois qu’on a un plan pour la phase de relance, il peut être instauré à n’importe quel moment qu’on souhaite, plutôt que d’avoir à le faire à un moment prédéfini.

Pour ajuster votre style d’entrainement libre, il faut d’abord mettre une limite catégorique sur la durée de l’utilisation de stéroïdes. Je suggèrerais 8 semaines, bien que vous puissiez le faire également sur 12 semaines. Il est tout aussi indispensable d’être engagé dans ceci. Lorsque la limite est atteinte (si elle l’est), l’utilisation de stéroïdes s’achève et la phase de relance commence, quelle que soit votre excitation de poursuivre à ce moment-là.

Deuxièmement, il faudra mettre des limites rigoureuses sur l’équilibre des semaines « avec » et des semaines « sans ». De manière illustrée, le ratio de 1-2 serait le minimum mais il est très agressif, le ratio 1-1 serait encore agressif mais pas tellement, et le ratio 2-1serait conservateur et pourtant très efficace.

Lorsque vous commencez vos semaines «sans» (ou off), vous vous engagerez à suivre le nombre planifié de semaines.

Un aspect partiel de l’usage libre des stéroïdes réside dans le fait que vous déciderez en tenant compte des périodes où vous avez vu les progrès les plus rapides et les effets plus tangibles. Vous voudriez sûrement terminer bien avant d’atteindre un point de stagnation, mais certainement, vous cesserez lorsque ce point apparait. Plus tôt vous terminez, plus tôt vous pourrez commencer le cycle suivant. On ne pourrait insister sur l’importance de ceci. Ainsi, la chose la plus efficace est de maintenir ces cycles relativement courts, dans la tranche de 4 à 8 semaines probablement, et dans chaque cas, finir quand les progrès commencent à concrètement ralentir plutôt que faire des arrêts.

De cette façon, votre utilisation ira de pair avec les périodes des meilleurs gains, et vous ne serez pas enfermé dans un planning quelconque.

Des Cycles de Stéroïdes Instinctifs pour un Style d’Entrainement Instinctif?

Des Cycles de Stéroïdes Instinctifs pour un Style d’Entrainement Instinctif?

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Pourquoi Mentionnez-Vous Rarement Certains Stéroïdes Anabolisants Comme Halotestin et Turinabol Oral?

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Il y a beaucoup de stéroïdes anabolisants que vous citez rarement comme Halotestin et Turinabol oral. Pourquoi cela? Et y a-t-il des moments où en fait, un ou plusieurs d’entre eux pourraient être un choix optimal pour un cycle de stéroïdes?”

R: En fait, il existe au moins un millier de composés qui peuvent fonctionner comme des stéroïdes anabolisants, mais il n’y a qu’un nombre quasi-limité pour les stéroïdes anabolisants d’agir dans le corps. De tous ces composés, quelques uns ont été choisis par les compagnies pharmaceutiques pour être commercialisés et d’utilisation humaine et vétérinaire. D’après ce que je sais, aucun des autres composés ne peut fournir une quelconque activité que les stéroïdes anabolisants largement utilisés ne puissent produire. Plusieurs d’entre eux auront même de pires effets secondaires comparés à ceux des choix communément utilisés. D’autres peuvent être seulement bons, mais encore, n’offrent aucune raison particulière à les utiliser.

Même parmi les stéroïdes pharmaceutiques et vétérinaires, il y en a beaucoup qui ne sont pas mauvais en eux-mêmes mais qui n’offrent seulement pas assez de raisons pour qu’on les préfère. Par exemple, le clostebol (4-cholorotestostérone) est un stéroïde anabolisant parfaitement décent et efficace et dont le profil des effets secondaires est tout aussi favorable que celui de n’importe quel autre, mais en fait, il n’offre aucun avantage en plus du Masteron par exemple, ou du Primobolan, et il est moins disponible, et quand il l’est, il n’est accessible que sous forme de solutions à faible concentrations comme à 25 mg/mL. Un autre fait intéressant concernant ceci, est qu’il est fabriqué assez facilement du Synovex, avec un produit essentiellement dépourvu d’œstradiol. Donc pour la bonne personne et la bonne situation, cela pourrait être un bon choix. Mais cette situation est tellement rare que je n’ai jamais trouvé de raison de le citer, et je le mentionne ici seulement comme un exemple.

Parmi les stéroïdes oraux, l’Halotestin, le Turinabol oral, le méthyltestostérone et le méthyltrienolone peuvent sûrement tous fonctionner, mais pour les cycles de masse et/ou les cycles de force, il n’y a jamais besoin de prendre aucun d’eux plutôt que Dianabol, l’Anadrol, oxandrolone ou le Winstrol.

Certains apprécient le méthyltestostérone ou l’Halotestin pour leur agressivité, bien que l’Halotestin puisse être bon pour les événements d’endurance éprouvants (pas nécessairement mieux que quoi que ce soit d’autre, mais il peut très bien marcher), et le Turinabol Oral peut être bon quand une personne choisit de troquer la toxicité hépatique contre la convenance et fera ainsi un cycle exclusivement oral. Mais déjà, il ne fournira aucun bénéfice de plus qu’un cumul d’oxandrolone/Dianabol par exemple.

Pourquoi Mentionnez-Vous Rarement Certains Stéroïdes Anabolisants Comme Halotestin et Turinabol Oral?

Pourquoi Mentionnez-Vous Rarement Certains Stéroïdes Anabolisants Comme Halotestin et Turinabol Oral?

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Intégrer des Cycles de Stéroïdes Courts dans un Programme d’Entrainement de Poids

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Article source: MESO-Rx français

Q: “J’ai commencé avec un entrainement classique avec des poids progressifs, en essayant d’ajouter une répétition par semaine et quand je suis arrivé à 12 répétitions, j’augmentais le poids et j’accumule de nouveau. C’est allé jusqu’au point impossible où j’ai pu ajouter des répétitions. J’ai avancé à 5×5, ajoutant un poids chaque semaine, et ainsi de suite. M’entrainer de manière identique toutes les semaines ne fonctionne pas sur moi. Qu’est-ce que vous suggèreriez pour changer cela semaine après semaine, en y incorporant des cycles de stéroïdes ? Je souhaite gagner plus de taille et de force, pour être plus fort pour ma taille. Je n’ai pas de soucis avec les plannings en nombres et l’utilisation d’un agenda d’entrainement.”

R: Ce que vous avez trouvé est simplement une vérité fondamentale.

Une fois passée l’époque des gains faciles, il est impossible d’ajouter disons 2,26 kg par semaine toutes les semaines. Si c’était possible, il y aurait eu des gars qui ajouteraient 118 kg tous les ans à leur bench, leur overhead press, etc. Ceux qui ont fait cela pendant, disons, 5 ans, auraient ajouté plus de 453 kg.

Ajouter une répétition chaque semaine peut être même un défi plus dur, vu qu’une répétition en plus représente environ 2 à 5% de force en plus.

Comme vous l’exposez, le fait de modifier semaine par semaine peut permettre une progression fort possible.

Une autre approche consiste à voir à chaque exercice quel poids vous pouvez soulever pour deux séries de 9, et quel poids vous pouvez soulever pour deux séries de 3. Là, imaginez une modeste augmentation (comme de 5% par exemple) de ce poids pour 2 séries de 3.

A titre d’exemple, supposons que maintenant au cours d’un exercice donné, vous pouvez faire 2×9 avec 54,43 kg, et 2×3 avec 77kg. Une augmentation de 5% sur ce poids l’amènerait à 81 kg. La différence entre ces 81 kg et les 77 kg est de 4 kg.

L’étape suivante est qu’il y aura 6 incrémentations d’entrainements entre le départ à 9 répétitions et la fin à 3 répétitions. Ainsi, vous divisez ces 27 kg par 6, et on a des augmentations de 4,5 kg.

Ce que vous allez faire sera donc de commencer le cycle d’entrainement avec 2×9 à 45 kg et avec chaque autre semaine, baisser d’une répétition et ajouter 4,5 kg. Vous finirez avec 2×3 à 81 kg, ce qui est une amélioration de 4,5 kg au départ.

L’utilisation de stéroïdes peut commencer dans la semaine à 6 répétitions et s’achever pendant la semaine à 4 répétitions, ce qui fournit un schéma de 3 semaines avec et 4 semaines sans. Une approche plus conservatrice consiste à les administrer seulement dans les semaines à 6 et 5 répétitions, ce qui donne un schéma de 2 semaines avec et 5 semaines sans. Chacune de ces approches nécessite une confiance mentale pour effectuer les semaines à 3 répétitions et non assistées. Une autre façon de faire consiste à commencer l’utilisation pendant la semaine à 6 répétitions, et poursuivre jusqu’à la semaine à 3 répétitions, mais dans ce cas, vous devriez ensuite ajouter deux semaines d’entrainement différé avant de commencer le cycle suivant. Cette méthode permet d’avoir deux cycles en moins par année, mais elle est comparable en termes de résultats.

Ceci n’est qu’une seule approche car il y a plusieurs bonnes façons de faire. Comme une indication générale, pour la plupart des programmes de durée étendue, le meilleur moment pour utiliser l’assistance des anabolisants est le dernier tiers ou la dernière moitié du programme, selon le niveau d’agressivité que vous voulez de l’usage des stéroïdes.

Intégrer des Cycles de Stéroïdes Courts dans un Programme d’Entrainement de Poids

Intégrer des Cycles de Stéroïdes Courts dans un Programme d’Entrainement de Poids

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L’Entrainement Doit-il Varier Pendant les Semaines Avec et les Semaines Sans pour les Cycles de Stéroïdes de Deux Semaines?

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Article source: MESO-Rx français

Q:“Les cycles de stéroïdes de deux semaines ont certaines semaines manifestement différentes des autres dans un schéma classique. Evidemment, les choses sont très différentes pour les semaines avec stéroïdes anabolisants par rapport à celles sans. Devrais-je juste m’entrainer de la même manière chaque semaine sans prendre cela en considération, ou l’entrainement devrait-il varier avec le schéma des cycles à 2 semaines?”

R: Pour avoir les meilleurs résultats, l’entrainement doit absolument changer avec le schéma du cycle de 2 semaines.

Le premier souci est le volume, qu’il soit pris en compte en répétitions totales par semaines ou en charge d’entrainement par semaine (poids fois répétitions, si on peut dire grosso modo). Les semaines «avec» devraient comporter plus de volume que les semaines «sans». Une bonne augmentation est habituellement d’environ 30% de plus que ce que vous trouvez généralement meilleur pour vous-même lorsque vous n’êtes pas assisté par les stéroïdes anabolisants.

La seconde chose à prendre en compte est le poids en fonction de votre 1RM. Les semaines «avec» sont généralement plus efficaces quand les séries de travaux ou les premières séries de travaux sont environ de 80 à 85% 1RM.

La première semaine «sans» est habituellement bien considérée comme une semaine délestée avec un volume considérablement réduit, comme avec seulement la moitié à deux tiers de votre quantité habituelle. Les objectifs de la gym de cette semaine ne doivent pas comporter la tentative de stimulation de la croissance par un travail vraiment ardu. Le corps est déjà stimulé par le travail des semaines précédentes, et on devrait plutôt le laisser croitre à partir de cela sans devoir sacrifier trop d’énergie pour les exercices actuels.

Gardez toujours au moins une répétition en réserve au cours de cette semaine.

Cela ne signifie pas que la première semaine «sans» doit être improductive. L’entrainement rapide comme elle est décrite par Louie Simmons, et/ou un quelconque entrainement à 8×2 à environ 80%1RM comme décrit par Pavel Tsatsouline peut vraiment consolider vos gains de force depuis les semaines « avec » en permettant la croissance et sans impact sur la reprise. Si vous aimez, la fin de la première semaine « sans » peut être un bon moment pour ralentir jusqu’au meilleur lot d’exercices un à trois.

Les autres semaines «sans» pourront avoir un entrainement assez ordinaire. Mais dans beaucoup d’exemples, il y a beaucoup à dire sur l’emploi de proportions considérables d’un travail à pourcentage 1RM relativement faible (60 à 75%) pendant les semaines «sans» en prévision des semaines «avec».

L’Entrainement Doit-il Varier Pendant les Semaines Avec et les Semaines Sans pour les Cycles de Stéroïdes de Deux Semaines?

L’Entrainement Doit-il Varier Pendant les Semaines Avec et les Semaines Sans pour les Cycles de Stéroïdes de Deux Semaines?

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Utiliser les Stéroïdes pour Se Préparer à une Evaluation de la Performance Physique et à un Test de Dépistage de Médicament pour le Travail

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Article source: MESO-Rx français

Q: “J’ai un test physique très exigeant pour le travail dans les 8 semaines à venir. Je serais soumis à un test de dépistage de médicament mais j’ai appris que presque tous les gars qui ont déjà le boulot en utilisent, et le dépistage sera vraiment basique. J’ai toute la masse musculaire qu’il me faut et en fait, je pense coupe un peu de muscle pour améliorer ma course, vu que je n’ai pas beaucoup de gras à perdre. Je réponds aux critères en ce qui concerne la force et je m’entrainerai dur pour la force-endurance, avec le souci d’éviter les blessures. Comment puis-je optimiser mon entrainement et ma performance, en réussissant le dépistage que tous ces autres gars ont réussi?Tout ce qu’ils ont fait, c’était de faire un arrêt quelques semaines avant. Mais j’ai envie d’optimiser ma performance. Le test physique est tellement éprouvant, il mine le psychisme et vous devez être aussi dur qu’un ongle pour arriver à y passer.”

R: Il y a quelques problèmes basiques à votre situation. D’abord, la première chose, c’est que les stéroïdes anabolisants ne sont pas efficaces pour améliorer l’endurance en post-cycle, sauf quand la masse musculaire gagnée améliore l’endurance en allégeant relativement les charges pour le muscle.

Un autre problème, c’est que la dernière chose dont vous aurez besoin du point de vue psychologique serait de vous sentir faible au niveau de la testostérone pendant le test, après avoir été habitué à un soutien pendant vos semaines d’entrainement.

D’un autre côté, l’utilisation des stéroïdes anabolisants pendant vos semaines d’entrainement pourrait sûrement améliorer votre reprise, et pourrait faire la différence entre les microtraumatismes accumulés qui vous retiennent en arrière et votre libération de tels problèmes.

Je vous recommanderais par exemple quatre ou cinq semaines de testostérone à 500 mg/semaine, suivies d’une dose de seulement 200 mg/semaine jusqu’à une semaine avant votre test, plus de l’HCG à 500 UI trois fois par semaine à poursuivre jusqu’au test, en simultané avec de la GH à 2UI/jour.

Cela vous apportera de l’assistance pendant votre entrainement mais sans grande chute, et vos niveaux de testostérone seront élevés bien que probablement pas au dessus des limites physiologiques, ou pas trop élevés au cours du test de performance. Evidemment, je ne peux pas promettre que vous n’allez pas échouer au test de dépistage vu que je n’ai pas les détails sur votre test, mais vos niveaux de testostérone ne seront pas extrêmes, et la GH et l’HCG ne seront probablement pas analysées.

Le fait est que, toutefois, pour les raisons données, cela dépendra vraiment de votre entrainement, et surtout de votre entrainement à ce jour, plutôt que de la capacité du cycle de stéroïdes à faire une grande différence dans votre situation.

Utiliser les Stéroïdes pour Se Préparer à une Evaluation de la Performance Physique et à un Test de Dépistage de Médicament pour le Travail

Utiliser les Stéroïdes pour Se Préparer à une Evaluation de la Performance Physique et à un Test de Dépistage de Médicament pour le Travail

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Modulateurs Sélectifs des Récepteurs d’Œstrogènes vs. Inhibiteurs de l’Aromatase Pendant un Cycle de Stéroides anabolisants

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Pendant plusieurs années, j’ai mis en pratique les nombreux plans de cycles de stéroïdes que vous avez publiés, mais également d’autres conseils que j’ai reçus ailleurs. Aussi, j’ai beaucoup de résultats personnels à comparer. D’après votre dernier conseil en date, il faut toujours utiliser un inhibiteur de l’aromatase pour les cycles aromatisés, et pourtant votre plus vieux conseil stipulait l’utilisation d’un modulateur sélectif des récepteurs d’œstrogènes (SERM).Bien que votre nouveau conseil est vraiment efficace, il semble que pour moi, les meilleurs résultats soient obtenus avec votre ancien conseil. »

A: Quand il s’agit de stéroïdes anabolisants et d’entrainement, les vieilles méthodes qui ont prouvé leur efficacité à l’époque sont toujours tout aussi efficaces aujourd’hui.

J’essaie toujours de faire en sorte que les mises à jour apportent des améliorations de toutes les façons, et en général, je pense que cela a été le cas. Cependant, dans la comparaison SERM vs anti-œstrogènes, c’est plutôt des compromis plutôt que des améliorations catégoriques.

L’utilisation d’un anti-aromatase permet le contrôle sur les taux d’œstradiol, tout en évitant les effets secondaires potentiels générés par les SERM. Il s’agit d’une approche extrêmement nette.

Les SERM, dont le Clomid en particulier, présentent deux avantages lors d’une utilisation en cours de cycle.

Le Clomid réduit les lésions de cellules musculaires dues à l’entrainement intensif d’endurance, et dues, d’après mes doutes, à un entrainement intensif aux poids, de par ses effets sur la membrane cellulaire. Il semble ne pas réduire la stimulation des gains musculaires. Je ne m’attendrais pas à ce que ces gains soient meilleurs grâce à cet effet protecteur, mais si les gains devaient être meilleurs pour un individu, cela pourrait être attribué à cela.

Une autre différence dans le choix d’utiliser un SERM plutôt qu’un inhibiteur de l’aromatase réside dans son effet sur la SHBG (globuline liant l’hormone sexuelle).

De manière générale, les stéroïdes diminuent les taux de SHBG. Souvent, ces concentrations sont très réduites pendant un cycle de stéroïdes, ce qui est indésirable.

L’œstradiol, qui est augmenté pendant un cycle aromatisé si un inhibiteur de l’aromatase n’est pas utilisé, contribue cependant à accroitre le taux de SHBG. Le Clomid lui-même agit certainement de manière directe sur l’augmentation de la SHBG.

Ainsi, lorsque des inhibiteurs de l’aromatase sont utilisés au cours d’un cycle, il y a un léger effet qui contrebalance l’augmentation de l’œstradiol entrainant l’augmentation de la SHBG. Mais lorsqu’on opte pour l’utilisation d’un SERM afin de contrôler l’effet oestrogénique pendant un cycle, les taux d’œstrogènes augmentent entrainant une normalisation de la SHBG.

Bien que je ne pense pas que des taux faibles de SHBG affectent négativement les gains pendant un cycle, ils pourraient en quelque sorte affaiblir la récupération, et réduire ainsi les gains nets. Cela n’a pas été prouvé, mais il semble être une possibilité raisonnable.

Le seul inconvénient à l’utilisation du Clomid plutôt qu’un inhibiteur de l’aromatase pendant un cycle est une légère toxicité. Pour cette raison, le SERM n’est plus prescrit aux femmes de manière courante à prendre pendant une dizaine de jours en prévention contre le cancer du sein. J’estime que les composés du SERM présentent de très faibles risques pour un usage limité, mais il est préférable de ne pas en prendre constamment pendant des années.

Par-dessus tout, je suis satisfait du choix d’avoir remplacé les inhibiteurs de l’aromatase par les SERM pendant les cycles, mais pour ceux qui ont préféré utiliser les SERM ou ceux qui veulent les essayer, je conseille de le faire. Les méthodes qui ont fonctionné dans le passé sont toujours très efficaces aujourd’hui.

Modulateurs Sélectifs des Récepteurs d’Œstrogènes vs. Inhibiteurs de l’Aromatase Pendant un Cycle de Stéroides anabolisants

Modulateurs Sélectifs des Récepteurs d’Œstrogènes vs. Inhibiteurs de l’Aromatase Pendant un Cycle de Stéroides anabolisants

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Des Flics sous Stéroïdes: Le Scandale Qui n’a Jamais Quitté le New Jersey

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Article source: MESO-Rx français

Un certain matin d’août 2007, le Dr. Joseph Colao est tombé raide mort d’une crise cardiaque dans son appartement dans Jersey City, New Jersey, à l’âge de quarante-cinq ans. Sa mort soudaine a tiré la sonnette d’alarme parmi les centaines d’officiers de police et de pompiers du New Jersey à qui il a prescrit et parfois vendu des stéroïdes anabolisants ainsi que de l’hormone de croissance humaine. Avant sa carrière de pourvoyeur d’hormones, son cabinet de gestion de douleur a connu le déclin, l’emmenant à s’embarquer dans une reconversion professionnelle que plusieurs médecins ont entrepris dans l’exercice d’une pratique médicale « anti-âge » basée sur les procédures de substitutions hormonales. Tout comme certains de ces médecins, Colao a mis ce qu’il prêchait en pratique, se faisant lui-même des injections et devenant à la fois un bodybuilder « sculpté » et un évangéliste des stéroïdes qui s’est passé des tests de diagnostic standards au profit d’un simple griffonnage d’ordonnances pour une clientèle estimée à 5000 « patients ». « Dans le monde des policiers et des pompiers », disait l’un de ses clients reconnaissants, « il est mort en héros ».i

Les infos selon lesquelles 248 flics et pompiers ont eu une prescription d’hormones subventionnées par le contribuable, fondée sur des diagnostics bidons, n’ont pratiquement pas traversées les frontières du New Jersey. La station CBS à New York City les a sélectionnées comme des nouvelles qui ne justifiaient pas d’une couverture supplémentaire.ii La couverture nationale représentait une parution sur les Infowars du site administré par l’adepte de la théorie de la conspiration Alex Jones.iii Même les endroits moins évidents incluaient hghwatch.com et le site web de la police Officer.com.iv En un mot, ce qui était de loin le scandale de flics sous stéroïdes le plus largement et le mieux rapporté dans l’histoire de l’Amérique était des faits divers locaux qui ne justifiaient pas l’attention nationale.

J’ai écrit sur ce site en mai 2005: « Une des anomalies remarquables de la campagne anti-stéroïdes des deux dernières années est qu’elle a virtuellement ignoré les nombreux rapports sur l’utilisation de stéroïdes par les officiers de police aux Etats-Unis et dans d’autres pays ».v Seulement deux mois avant que ces mots n’aient été écrits, un congrès a martelé la réticence de la Ligue Majeure de Baseball à confronter son propre problème de stéroïdes. Aujourd’hui, presqu’une décennie plus tard, la guerre légale de la LMB contre le très peu célèbre Alex Rodriguez a confirmé une fois encore que cette élite d’athlètes reste les cibles de choix sur les abus de stéroïdes de notre société.

Aucun observateur judicieux des controverses de nos thérapies hormonales ne peut manquer d’être frappé par l’épitaphe reconnaissant du pompier du New Jersey pour son fournisseur d’hormones disparu : « Dans le monde des policiers et des pompiers, il est mort en héros ». Ce fait désavantageux menace les objections de notre société envers l’utilisation des stéroïdes par les officiers de police de manière fondamentale : le risque de comportement hyper-agressif, les implications troublantes de l’enfreinte de la loi en connaissance de cause par des officiers, l’exposition des officiers au chantage par les dealers de drogue, et l’érosion de la foi publique envers les flics qui se comportent de cette manière. Comme il a été dit dans un éditorial : « Ce qui est peut-être le plus important dans la totalité de cette enquête est de déterminer si la culture du désordre et du laisser-aller qui alimente l’utilisation des stéroïdes est vraiment devenue assez omniprésente au sein des rangs des officiers de police du New Jersey pour céder potentiellement à des abus plus grands.viEn d’autres mots, est-ce qu’une culture de stéroïdes au sein d’un département de police est une silencieuse mais corrosive menace sur l’application de la loi elle-même ?

En se basant sur la preuve du New Jersey, certaines autorités publiques locales ne pensaient pas ainsi. En réponse aux controverses Colao, un porte-parole du maire de Jersey City a remis en question le caractère frauduleux du trafic d’hormones de Colao : « le maire ne peut pas présumer que la simple existence d’une prescription pour des stéroïdes écrite par un médecin et complétée par une pharmacie autorisée pour un employé de la ville ne soit pas médicalement nécessaire ou autrement une fraude ». Etait-ce le cynisme ou la naïveté qui a incité l’auteur de ce communiqué de presse à tout simplement ignorer l’existence de médecins qui écrivent de fausses prescriptions pour une compensation financière ?

Le Bureau du Procureur Général a affirmé que les procureurs n’auraient pas été capables de prouver que les officiers de police impliqués avaient l’intention d’enfreindre la loi.viiEn résumé, le manque global d’intérêt à poursuivre les officiers qui prennent des stéroïdes était évident.

En fait, dans les services de police à travers le pays, des attitudes clémentes de la part des chefs ou des commissions de révisions envers les officiers pris pour usage de stéroïdes constituent les normes. En 2010, par exemple, le Conseil de la Fonction Publique a contrepassé le licenciement par le chef de la Police d’un officier qui a testé 90 fois la limite permise par le département sur le Nandrolone. « Je suis complètement confiant », disait le chef, « que si c’était un quelconque médicament dangereux autre que des stéroïdes, ils auraient soutenu le licenciement, parce qu’avec les stéroïdes, ils ne semblent pas considérer que ce soit un médicament dangereux ».viii Cette répugnance largement répandue envers l’utilisation des stéroïdes anabolisants par la police comme un comportement socialement déstabilisant aide à expliquer pourquoi chaque “scandale” autour de stéroïdes chez les policiers jusqu’à ce point est resté un fait local.

(*) La plupart des informations de cet essai concernant l’affaire Joseph Colao proviennent de séries d’articles qui ont reçu le Prix George Polk par Amy Brittain et Mark Mueller publiées dans le Newark Star-Ledger en décembre 2010.

Des Flics sous Stéroïdes: Le Scandale Qui n’a Jamais Quitté le New Jersey

Des Flics sous Stéroïdes: Le Scandale Qui n’a Jamais Quitté le New Jersey

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Signification de la SHBG (Hormone liant les stéroïdes sexuels) Pour l’Utilisateur de Stéroïdes Anabolisants

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Certains disent que si je pouvais seulement libérer la testostérone liée à la SHBG, ce serait comme si je produisais plus de testostérone encore, ou que j’en obtiendrais plus que ce que j’ai injecté. Un article stipulait que la SHBG désactivait essentiellement la testostérone. Ces affirmations sont-elles vraies ? Si non, pourquoi ?”

A: Le mécanisme de la SHBG est largement incompris. Ces affirmations ne sont pas vraies.

Bien que l’analogie ne prouve rien, quelquefois, elle aide à comprendre quelque chose lorsque l’explication directe serait plus difficile à suivre (ici, l’implication d’un potentiel chimique, de transmissions d’équilibre et de clairance métabolique). L’analogie suivante schématise plus clairement comment se passe la relation de la SHBG avec la testostérone libre et les concentrations totales de testostérone.

Plutôt que de décrire les testicules ou un dépôt de testostérone injectée fournissant un certain niveau de testostérone, voyons plutôt cela comme une source qui fournit de l’eau à une petite rivière au courant rapide.

Il y a aussi un tout petit lac rattaché à la rivière, avec le rôle d’un réservoir. Ce dernier est minuscule comparé à la quantité d’eau apportée tous les jours par la source, mais large comparé au volume d’eau de la rivière.

Le réservoir ne “désactive” pas l’eau. La plupart du temps, la rivière coule à la même vitesse que l’approvisionnement de la source. Lorsque c’est ainsi, le niveau d’eau du lac reste le même. Quelque fois, il peut y avoir une réduction ou une augmentation du flux de la source. Le réservoir réagira pour tamponner cela. Mais au final, l’écoulement de la rivière sera identique au flux de la source au fil du temps, et la hauteur de l’eau de la rivière dépendra de ce flux.

La SHBG agit comme le lac plutôt que comme un désactivateur de la testostérone. Elle équilibre les concentrations au lieu de réduire les taux de testostérone libre.

Si on mesurait la quantité totale d’eau existante, le total incluant le cas serait bien plus élevé que la quantité présente seulement dans la rivière. Cependant, pour les plantes des berges de la rivière qui ont besoin d’eau, toute cette eau dans le lac ne présente aucun danger. Cette eau ne réduit pas du tout leur approvisionnement en eau. Elle ne fait que tamponner pour que l’apport soit graduel. Il en est de même avec la SHBG.

Si tout à coup, vous poussez du matériel dans le lac, vous ferez sortir l’eau et pendant quelque temps, la rivière ne coulera pas plus vite. Toutefois, cela s’achèvera dès que la réduction de l’eau dans le lac aura cessé. Sur le long terme, le flux de la rivière ne s’accroitra pas par la diminution du lac. Il en est de même avec la réduction de la quantité de SHBG.

Si on décidait quand même de réduire la SHBG, quelle quantité de testostérone pourrait être libérée ? Supposons que la testostérone liée à la SHBG est de 1000 ng/dL et que vous ayez 5 litres de sang, ce qui équivaut alors à 50 microgrammes ou 1/20 d’un milligramme.

Quel bénéfice apporterait une poussée d’un vingtième de milligramme, même pour un moment? Il pourrait être insignifiant et l’effet pourrait être presque immédiat. C’est pour cette raison que les suppléments qui se présentent comme de la testostérone libre par la SHBG n’aident pas à construire du muscle.

Les affirmations qui proclament le contraire sont largement répandues mais fausses. Il est vrai qu’un large pourcentage de la testostérone totale est lié à la SHBG de manière réversible. Mais aucune preuve n’a confirmé que la testostérone libre est augmentée par la réduction de la SHBG ou de la réduction de la liaison de la testostérone à la SHBG.

Signification de la SHBG (Hormone liant les stéroïdes sexuels) Pour l’Utilisateur de Stéroïdes Anabolisants

Signification de la SHBG (Hormone liant les stéroïdes sexuels) Pour l’Utilisateur de Stéroïdes Anabolisants

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Comment Gérer la SHBG Pendant un Cycle de Stéroïdes Anabolisants

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Pourquoi est-ce que je voudrais garder des taux de SHBG aussi normaux que possible, et comment le faire dans les cycles de stéroïdes ?”

A: A la différence de l’idée courante selon laquelle la SHBG serait l’ennemi de l’entraineur en poids et haltères, qu’elle agirait prétendument uniquement pour réduire la testostérone libre, des concentrations normales de SHBG servent à plusieurs objectifs.

Entre les cycles, la faible concentration de SHBG est désavantageuse pour une raison: la SHBG aide dans le transport de la testostérone depuis les testicules vers le flux sanguin. La testostérone est pratiquement insoluble dans l’eau. Sans protéine liante (la SHBG étant une protéine), la testostérone serait mal transportée des testicules vers le sang, et ainsi vers le reste du corps. Bien que cela ne soit pas prouvé, c’est tout à fait possible et logique physiologiquement parlant qu’une concentration faible de SHBG puisse affaiblir la récupération du fait de cette question.

En plus, beaucoup de cellules du corps disposent de récepteurs de SHBG servant à des fins physiologiques. Jusqu’à maintenant, la science médicale comprend peu de ceci et peu de détails peuvent être expliqués. Cependant, une chose est connue, c’est que la SHBG se lie à un récepteur qui lui est spécifique, puis quand un ligand – tel qu’entres autres la testostérone – se lie à elle, le récepteur est activé, faisant accroitre les concentrations en AMPc dans la cellule, stimulant les processus métaboliques dans la cellule.

Je n’aimerais jamais supposer qu’un processus qui survient normalement dans le corps doive être arrêté ou réduit au minimum, à moins de savoir pourquoi agir ainsi. Dans ce cas, il n’y a aucune raison de penser que le fait d’arrêter ce processus soit désirable. Si on a le choix de garder sa fonction normale, ou du moins agir dans le but de la maintenir normale, c’est pour moi mieux que de l’arrêter sans comprendre ce que l’on fait.

Par exemple, en ce qui concerne la performance sexuelle, il a toujours été noté que la testostérone libre ne disait pas toute l’histoire : la même testostérone libre avec une SHBG normale (et ainsi la testostérone totale est relativement plus élevée) donne de meilleurs résultats que quand la SHBG est faible (et ainsi la testostérone totale est relativement plus basse).

Des taux élevés d’androgènes font diminuer les taux de SHBG, plus particulièrement les médicaments oraux. Les œstrogènes agissent en augmentant la SHBG. Aussi, des taux d’œstradiol normaux à élevés peuvent avoir des avantages sur le maintien du taux normal de SHBG comparés à un taux plus bas que la normale. L’hormone thyroïdienne aide également à faire accroitre la SHBG alors que des concentrations élevées en insuline agissent en la diminuant.

Contrairement aux plus longs, les cycles plus courts peuvent bien résulter en une récupération plus rapide de la SHBG.

Je ne remanierais pas de manière radicale la programmation d’un cycle à cause de la SHBG, particulièrement au cours des semaines « avec » vu que les gains peuvent être excellents malgré un taux faible de SHBG. Cependant, durant les semaines de récupération, pousser l’œstrogène à des taux plus bas que nécessaire, avec des concentrations élevées d’insuline, ou des concentrations faibles d’hormones thyroïdiennes agiront contre la restauration des concentrations normales de SHBG. L’inverse de tout ceci contribuera à restaurer des taux normaux de SHBG.

C’est un domaine qui nécessite encore plus de travail et d’observation, mais qui peut bien avoir une pertinence sur la récupération et particulièrement la reprise de la performance sexuelle.

Comment Gérer la SHBG Pendant un Cycle de Stéroïdes Anabolisants

Comment Gérer la SHBG Pendant un Cycle de Stéroïdes Anabolisants

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Que Faire Quand une Maladie Interrompt un Cycle de Stéroïdes?

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Q: “Que devrais-je faire si je tombe malade pendant un cycle et que je ne peux pas m’entrainer correctement, ou que mon corps n’a clairement pas l’énergie pour faire des gains ? Si je décidais d’écourter le cycle, devrais continuer à prendre au moins quelque chose, peut-être à dose moindre pour éviter de perdre mes gains ? Je n’ai pas à être prêt pour un quelconque délai d’urgence dans les quelques mois à venir.”

A: Je ne modifierais pas le programme si la maladie ne semble survenir que pour quelques jours, mais j’écourterais le cycle si elle ne cède pas au-delà d’une semaine ou plus.

Comme il a été dit plusieurs fois, le fait de terminer un cycle plus tôt permet de commencer le suivant plus tôt, ce qui compense les changements dans le programme. Ce n’est en aucun cas une perte. Vous pourrez commencer le cycle suivant aussitôt que vous aurez complété le même nombre de semaines « sans » durant lesquelles vous avez été sous stéroïdes, ou si vous voulez être plus conservateur, faire le double de ce temps. Ce sera plus tôt que cela devrait être si vous avez continué le cycle malgré la maladie. Cela ne vous retardera pas du tout.

Si votre niveau de testostérone était bon avant le cycle et que la durée du cycle était assez courte (8 semaines ou moins), dans la plupart des cas, la récupération sera bonne en utilisant seulement un SERM en phase de relance. (Les choix les plus courants sont le Clomid et le Novaldex).

Cependant, si et seulement si vous suspectez que la récupération de la testostérone pourrait être lente, là, je suggèrerais aussi l’utilisation en phase de relance soit d’une HCG soit d’une testostérone à faible dose, telle que 100 mg/semaine.

Cela est dû au fait qu’on ne voudrait pas que le système immunitaire soit affecté négativement par la chute trop basse de la testostérone.

Des doses intermédiaires de stéroïdes (pas assez pour de vrais gains et pourtant trop pour la reprise de l’HTPA) ne sont pour vous qu’une perte de temps, que ce soit au cours du cycle ou au cours de la récupération. Quelle que soit la perte musculaire survenant lorsque vous êtes malade, elle sera retrouvée facilement lorsque vous vous rétablirez. Encore, mettre fin plus tôt à la prise de stéroïdes permettra une reprise plus tôt, et cela sera plus productif que d’essayer d’éviter les pertes alors que vous êtes malade.

Bref, optimisez votre utilisation. Prendre des stéroïdes anabolisants pendant que vous êtes au bas de la forme et incapable de vous entrainer n’est pas une façon optimale de les utiliser.

Que Faire Quand une Maladie Interrompt un Cycle de Stéroïdes?

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A Quel Age Peut-on Commencer à Utiliser des Stéroïdes Anabolisants?

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Q: “Il est habituellement recommandé de ne pas utiliser de stéroïdes anabolisants avant d’avoir eu plusieurs années d’entrainement naturel à son actif, et d’attendre d’avoir au moins 21 ans. Mais pour toute chose, il peut y avoir des exceptions. Quand est-ce qu’il est raisonnable pour une personne d’utiliser des stéroïdes plus tôt? »

A: Quand un lifter gagne de nombreuses années d’expérience naturelle avant de commencer l’utilisation de stéroïdes anabolisants, il a probablement bien appris à s’entrainer. Ceci n’est pas négligeable. Comme avec de nombreuses pratiques athlétiques, une personne peut lire un certain nombre de livres ou d’articles de magazines ou visionner un certain nombre de vidéos, mais le savoir obtenu est totalement différent de ce qu’on gagne d’une centaine d’heures d’entrainement. Vous devez avoir ce temps dans les tranchées et avoir appris par expérience ce qui fonctionne sur vous et ce qui n’est pas efficace, et avoir appris comment adapter votre entrainement pour faire face aux différents obstacles que vous rencontrez.

Le lifter débutant qui utilise des stéroïdes anabolisants de façon précoce n’apprendra jamais ceci, parce que tout fonctionne.

Cela ne veut pas dire qu’une personne ne peut pas apprendre à s’entrainer correctement si elle prend trop tôt des stéroïdes anabolisants, seulement la situation tend à jouer contre cet apprentissage.

En plus, la personne qui a travaillé dur et qui a fait des gains concrets pendant plusieurs années sans l’intervention de stéroïdes anabolisants sait qu’il est capable de faire de même. Il ne subit aucune dépendance psychologique, et il est tout à fait habitué à s’entrainer durement à la gym sans assistance médicamenteuse. Après le début de l’utilisation de stéroïdes anabolisants, dans la plupart des cas, un tel lifter s’entrainera intensivement et bien dans ses semaines « sans ».

Le débutant qui aura commencé l’utilisation de stéroïdes trop tôt sentira que l’entrainement sans stéroïdes anabolisants est largement une perte de temps. Typiquement, le recul progressif sera mauvais, si encore il en a un. Souvent, il n’aura pas assez de discipline pour faire des semaines « sans ».

Encore, ceci n’a pas lieu d’être ainsi. Si une personne a la psychologie adéquate, cela peut être surmonté.

Il y a eu des cas où j’ai vu des résultats remarquables avec des lifters qui ont commencé aussi tôt qu’à 18 ans. Ces jeunes hommes étaient très dédiés, intelligents, soucieux de suivre les instructions à la lettre, avaient d’excellents guides d’entrainements et souvent un grand potentiel athlétique.

Dans un exemple tout récent, un jeune homme qui avait tous les autres dons mais qui n’avait pas la musculature requise a effectué un cycle de 8 semaines à l’âge de 18 ans, en suivant scrupuleusement les instructions. L’année suivante, il a commencé chaque jeu de la saison et est devenu un joueur-clé à la tête du top 3 du classement national de l’équipe de son université. Il a aussi signé une saison complète auprès de cette école d’excellence académique.

Rien de ce qui était négatif ne s’est appliqué à ce cas. Il avait de bonnes raisons de commencer et il l’a fait au lieu d’attendre quelques années de plus. Il y aura beaucoup de cas dans ce genre, mais beaucoup plus de cas qui seront différents et dans lesquels il y aura énormément à dire en ce qui concerne un entrainement préalable de plusieurs années.

Ainsi, chaque cas est unique. Mais la plupart du temps, je suis d’accord avec les recommandations générales concernant le bon moment pour envisager l’utilisation de stéroïdes anabolisants. Habituellement, pas avant que plusieurs années d’entrainement intensif n’aient déjà produit le maximum du potentiel naturel de la personne.

A Quel Age Peut-on Commencer à Utiliser des Stéroïdes Anabolisants?

A Quel Age Peut-on Commencer à Utiliser des Stéroïdes Anabolisants?

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Quels Gains de Masse Peut-On Espérer d’un Cycle de Stéroïdes?

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Q: “Quels gains de masse peuvent être attendus d’un cycle de stéroïdes? Manifestement, les derniers cycles ne produiront pas autant que le premier, mais par-dessous tout, comment est-ce que cela fonctionne? »

A: Dans un premier cycle, les gains musculaires conservés peuvent être aussi élevés que 4,5 kg pour les deux premières semaines d’utilisation, ou de 9 kg ou mieux pour les 8 semaines d’utilisation. On suppose ici que les cycles sont bien planifiés et que la nutrition est appropriée.

Dans le cas du cycle de deux semaines, le novice peut typiquement gagner 2,26 kg de plus de masse musculaire conservée par cycle, jusqu’aux 11,34 kg de gain net au minimum.

Dans le cas du cycle de huit semaines, un second cycle ne produira que 2,26 à 4,5 kg de plus en masse musculaire conservée.

Une fois que les gains retenus ont atteint 11,34 kg à 13,6 kg par le potentiel naturel, les prochains gains se feront plus lentement. Cela ne vient pas vraiment du nombre de cycles effectués, mais plutôt du point atteint après le maximum fourni naturellement. Ces nombres ne constituent pas des limites rigides. Certains font même mieux.

A un moment donné, les gains peuvent vraiment ralentir jusqu’à 1,3 kg par an, par exemple. A titre d’exemple, c’était la moyenne enregistrée par Lee Haney entre son premier et son dernier Mr Olympia.

Lorsque les pertes majeures sont survenues, la reprise peut être très rapide, aussi rapide que les gains de débutants ou même plus. Des pertes modérées sur des pics prennent cependant du temps pour être reprises.

Dans tous les cas, je définis par “gains musculaires conservés” la différence entre le poids corporel en mode “off” quand la graisse corporelle est égale, ou en Masse musculaire maigre en « off » si la correction est effectuée pour les modifications de la graisse corporelle.

Durant le cycle lui-même, le poids corporel peut être plus élevé de 3,6 kg à 4,5 kg du fait de l’accroissement de rétention d’eau dans les muscles. Ce poids est rapidement perdu à la fin du cycle, et ne représente pas de réelle augmentation dans les protéines contractiles. Mais c’est le poids indiqué par la balance qui est remarqué durant le cycle et qui améliore l’apparence musculaire.

Quels Gains de Masse Peut-On Espérer d’un Cycle de Stéroïdes?

Quels Gains de Masse Peut-On Espérer d’un Cycle de Stéroïdes?

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Gagner du Muscle et Perdre de la Graisse avec un Programme de Cycle Court Alterné de Stéroïdes

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Q: “J’aimerais effectuer des cycles dans le schéma : 2 semaines avec et 4 semaines sans, et gagner de la force en améliorant ma composition corporelle. Mon but est de gagner environ 11 kg de muscles et faire tomber 11 kg de graisse dans les 6 mois environ. Je suis nouveau à l’utilisation des stéroïdes anabolisants. J’ai 5 années d’entrainement et des gains acquis lentement ces derniers temps. J’aimerais avoir un programme d’entrainement périodisé. Pouvez-vous m’en suggérer un aperçu? »
A: Votre objectif devrait être accessible. Voici une suggestion:

Semaines 1 et 2 : Pas de stéroïdes anabolisants, pas de thérapie en post-cycle (relance). L’entrainement consiste en reps relativement élevées, avec des poids d’environ 60-70% 1RM, avec en semaine 2 plus de poids que pendant la semaine 1. Prenez comme volume ce que vous trouvez approprié au long terme pour un entrainement naturel dans cette fourchette de reps. Quant aux calories, elles seront par exemple de 12 cal/jour par livre de masse corporelle maigre, avec des protéines d’environ 1 g/jour par livre de masse corporelle maigre. Toutefois, si vous pouvez perdre de la graisse d’environ 900 g à 1,3 kg/semaine avec plus de calories que cela, permettez-vous quelques calories de plus. Vous pouvez envisager d’avoir jusqu’à deux jours non consécutifs par semaines avec de faibles calories mais des protéines proches des doses mentionnées plus haut, si cela est nécessaire.

Semaines 3 et 4: Utilisation de stéroïdes anabolisants d’action courte, avec des dosages typiquement d’environ 150 mg/jour au total, sauf pour un cycle de trenbolone/Dianabol où on peut utiliser des doses aussi légères que 50 mg/jour chacun. Un inhibiteur de l’aromatase ou un SERM est utilisé pour contrôler l’œstrogène, excepté si dans le cas particulier, cette utilisation est inutile. Les poids utilisés pendant l’entrainement sont d’environ 75-85% 1RM. En semaine 4, les poids devraient être plus lourds qu’en semaine 3. Le volume devrait être plus grand de 30 % que ce que vous avez trouvé d’optimal en entrainement naturel. L’apport calorique sera élevé d’environ 1000 par jour par rapport à ce qu’il faut pour votre entretien, et les protéines seront augmentées d’environ 100 g/jour par rapport à la consommation courante. Visez à gagner entre 450 et 900g de graisse dans ces deux semaines.

Semaine 5: La phase de post-cycle commence. Les poids utilisés seront les mêmes qu’en semaine 4, mais le volume doit être réduit d’environ 50% ou même plus. Plusieurs exercices peuvent composer une série. Facilitez les négatives. Laissez au moins une rep en réserve sur toutes les séries. Vous pouvez fractionner en exercices plus petits. Si vous avez des techniques spécialisées comme le style Westside pour le travail de la vitesse, c’est la meilleure semaine pour les mettre en pratique. Les apports caloriques devraient être à dose d’entretien habituelle.

Semaine 6: La phase de post-cycle se poursuit. Les poids seront toujours les mêmes qu’en semaine 4. Vous pouvez cependant faire le maximum de reps dans votre dernière série d’exercice, et si vous voulez, réintroduire quelques exercices plus modérés. Pour le volume, utilisez la quantité optimale pour un entrainement naturel au long terme convenable pour cette fourchette de reps. Evaluez si vous avez besoin de couper pendant ce cycle ou si vous pouvez vous permettre des apports caloriques d’entretien.

Pour les nombreux cycles à venir, suivre les cycles habituels peut augmenter le poids de 5% ou un peu plus, pendant que vous maintenez le même nombre de répétitions et de séries. Plus tard, les augmentations seront aussi basses que 1% par cycle. Ceci peut sembler faible mais le résultat d’environ 8% par an est ce que la plupart des lifters arrivent à faire une fois avancés.

Gagner du Muscle et Perdre de la Graisse avec un Programme de Cycle Court Alterné de Stéroïdes

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Les Hormones Thyroïdiennes pour la Perte de Graisse chez les Femmes

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Q :“Je suis une femme de 40 ans qui a toujours été extrêmement active, en commençant par la natation compétitive dans mon enfance. Je mange toujours de manière naturelle, sans jamais compter les calories ni me priver, mangeant spécialement beaucoup après un entrainement vu que j’ai vraiment beaucoup d’appétit. Je n’ai jamais eu de problème avec la graisse corporelle tant que je me suis entrainée intensivement. Je continue à m’entrainer beaucoup mais maintenant, j’ai des problèmes de graisse. J’ai essayé la T4 mais avec un mauvais dosage, en manipulant la poudre avec le bout de mes doigts. Je n’ai pas compris à quel point le produit était puissant. Il a eu un effet catastrophique sur mon rythme cardiaque mais j’ai bien perdu de la graisse (et du muscle). Depuis, j’ai essayé la T3 en faisant plus attention sur le dosage, avec 100 mcg/jour. Mais cela ne m’a pas aidée à perdre de la graisse et les battements cardiaques anormaux ont interféré avec mon entrainement. D’autre part, certains compléments pour la perte de graisse m’ont aidée, aussi, les hormones thyroidiennes le devraient-elles également? Et quelle est la différence entre la T3 et la T4? »

A: Vous avez vraiment de la chance d’avoir pu rester maigre tout en mangeant autant que vous vouliez pendant tout ce temps, en laissant seulement faire l’entrainement. Ceci est bien plus d’origine génétique plutôt qu’une norme.

Il est probable qu’à l’âge de 40 ans, ce ne sera plus tout à fait le cas et pour redevenir maigre il sera nécessaire d’éviter les augmentations dans les apports caloriques si on cherche à perdre de la graisse.

Certains compléments pour la perte de graisse sont quelque peu actifs sur la réduction de l’appétit, tout comme ils augmentent le niveau métabolique, ou dans certains cas, améliorent même les processus métaboliques. Quand les apports caloriques restent les mêmes, l’effet des compléments nutritionnels sur la perte de graisse est habituellement plus moindre que celui d’une hormone thyroïdienne bien dosée. Cependant, lorsque le produit de supplément dispose de propriétés significatives en termes de suppression de l’appétit, et que dans son cas personnel la personne mange moins, ceci peut faire une grande différence dans la perte de graisse.

Ce qui s’est probablement produit pour vous avec la T3 est que les apports alimentaires ont augmenté pour correspondre avec un niveau élevé de brûlage de calories, donc vous n’avez eu aucune perte de graisse.

Avec la T4, la dose était probablement tellement extrême si bien que vous avez quand même eu une perte de graisse.

On n’insistera jamais assez sur le fait que les hormones thyroïdiennes sont puissantes. Elles ne doivent en aucun cas être surdosées. La poudre ne devrait jamais être utilisée à moins qu’une personne ait les moyens de doser des quantités extrêmement petites avec une assurance à 100%.

Je recommande qu’on n’excède pas 50 mcg/jour avec la T3, préférablement fractionnée en 3 doses ou au moins en 2 doses. Avec la T4, je conseillerais qu’on n’excède pas 200 mcg/jour.

La T4 agit plus longtemps que la T3 et ainsi, elle est plus pratique à utiliser. Elle requiert une conversion en T3 dans le corps, ce qui peut être pour certaines personnes un facteur limitant. Pour ces derniers, la T3 est plus appropriée. Il semble que cela n’est pas un problème dans votre cas, donc vous pouvez utiliser la T4.

Mais pour la prochaine fois, limitez-vous à la dose mentionnée plus haut et assurez-vous de ne pas vous permettre d’apports caloriques augmentés en parallèle avec l’augmentation de votre métabolisme.

Les Hormones Thyroïdiennes pour la Perte de Graisse chez les Femmes

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Recommandations pour un Entraineur Expérimenté qui se Remet aux Stéroïdes Après une Longue Pause

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Q: “J’ai 50 ans, et j’ai environ 20 ans d’entrainement derrière moi ainsi que plusieurs cycles de stéroïdes anabolisants. J’ai arrêté la gym pendant plusieurs années et j’ai envie de m’y remettre. J’ai régressé de 15 kg de muscles et j’ai pris 11 kg de graisse, et je suis revenu au niveau débutant en matière de force. La question est : suggérez-vous la remise en place naturelle d’une bonne base avant la reprise de l’utilisation des stéroïdes, ou bien d’aller directement vers quelques cycles de stéroïdes bien considérés? »

A: A un jeune âge, les retours offrent généralement des gains identiques à ceux des débutants ou même plus rapidement. Aussi, il n’y a vraiment aucun problème à inclure les stéroïdes anabolisants jusqu’à ce que vous retrouviez un pic proche des résultats naturels.

Cependant, pour le lifter plus âgé, cela ne se passe pas toujours ainsi.

En fonction des préférences personnelles, j’envisagerais un des deux plans suivants :

La première option consisterait à augmenter les taux de testostérone au niveau élevé ou même plus, pendant qu’on maintient la production de LH (hormone lutéinisante). Une façon de le faire est d’utiliser l’HCG (par exemple 500 UI 3x/semaine) combiné avec soit un SERM soit un inhibiteur de l’aromatase. Par exemple, vous pourriez utiliser du Clomid à 50 mg/jour ou du létrozole à 0,36 mg/jour. Le bilan sanguin est estimé de manière périodique. Si la LH devient anormalement basse, faites baisser la quantité de HCG. Une autre façon serait de procéder de manière identique mais en utilisant un stéroïde anabolisant au lieu de l’HCG, à une dose d’environ 100mg/semaine. Mon choix personnel se porte sur le Masteron ou le Primobolan, mais la testostérone peut aussi être utilisée. Encore, les tests continuels de la LH détermineront si vous avez besoin ou non de faire baisser le dosage des stéroïdes.

Je conseillerais d’évaluer les gains en salle pour voir s’ils sont ou non satisfaisants ou à quels moments les résultats ont commencé à devenir insatisfaisants.

Le deuxième plan consisterait à utiliser des stéroïdes anabolisants selon les méthodes standards. Personnellement, je préfère y aller directement, mais si vous préférez, vous pouvez d’abord essayer le premier plan.

Vu que vous êtes déjà à l’aise avec les stéroïdes anabolisants, il n’y a vraiment aucune raison de ne pas apprécier des gains rapides dès votre retour. Il peut être frustrant de voir des reprises plus lentes qu’elles n’auraient pu être. Je me lancerais moi-même dans ce plan.

Recommandations pour un Entraineur Expérimenté qui se Remet aux Stéroïdes Après une Longue Pause

Recommandations pour un Entraineur Expérimenté qui se Remet aux Stéroïdes Après une Longue Pause

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Une Utilisation Plus Sûre et Plus Responsable des Stéroïdes Pour les Culturistes qui Prennent de l’Age

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Au fil des ans, j’ai compté moyennement un nombre égal de semaines « avec » et de semaines « sans », et pendant les cycles de stéroïdes, j’ai utilisé environ 1000 mg/semaine. J’approche maintenant les 55 ans et je commence à penser que ce serait dur pour le corps de maintenir perpétuellement le poids corporel que j’affiche actuellement, et de toute façon les gars plus âgés qui sont vraiment en forme ne sont jamais très massifs. Cela me semble logique que le cœur décline probablement dans sa capacité à supporter le poids du corps. En plus, il peut y avoir une raison à l’idée que l’utilisation des stéroïdes ait des effets secondaires négatifs qui se cumulent. Comment pourrais-je ralentir mon utilisation avec le temps ? J’ai encore une bonne récupération entre les cycles. »

A: Je suis moi-même en quelque sorte dans la même situation.

Comme je l’ai personnellement décidé, il m’a semblé qu’une chute de 700g par année pourrait être raisonnable. Par exemple, si 90 kg maigre à 50 ans, puis 84 kg maigre à 60 ans seraient crédibles, tout comme 77 kg à 70 ans. Et même probablement 70 à 80 ans, bien que je ne pense pas personnellement aller aussi loin. Dans mon propre cas, cela me rendrait plus lourd à 80 ans comparé à mes 18 ans !

(J’aurais préalablement envisagé une petite chute de 450 g par an, mais en y pensant, je considère ce qui est mentionné dessus comme plus réaliste).

Ainsi, la réinitialisation progressive des objectifs personnels fait partie de l’utilisation « ralentie ».

Je réduirais également la quantité totale annuelle (en grammes) de stéroïdes à seulement la quantité nécessaire pour atteindre les objectifs. Actuellement, vous êtes à environ 26 grammes par an. En ce moment, vous pourrez réduire à 15-20 grammes par an pour atteindre vos objectifs.

Malheureusement, je n’ai pas suffisamment de données de cas pour affirmer si ce serait mieux pour la santé d’effectuer moins de cycles avec stéroïdes dans l’année, mais au même dosage hebdomadaire, ou si le même nombre de semaine avec stéroïdes mais à un dosage réduit. Je déciderais en fonction du profil lipidique, de la tension artérielle, de l’hématocrite et de toute autre anormalité dans les tests sanguins au cours du dosage actuel. Si vos valeurs sont actuellement bonnes, je réduirais le nombre de semaines par an. Si les valeurs doivent manifestement être améliorées, je réduirais le dosage en gardant le même nombre de semaine par an.

Plus loin dans l’avenir, vous pourrez trouver plus efficaces les dosages en “supplémentations” à apprécier comme 100 à 200 mg/semaine de Masteron, ou du Masteron avec de l’HCG, avec seulement un cycle occasionnel de stéroïdes, et puis finalement une approche de traitement hormonal substitutif qui vous maintient à des taux normaux/élevés d’androgènes.

Le meilleur des résultats!

Une Utilisation Plus Sûre et Plus Responsable des Stéroïdes Pour les Culturistes qui Prennent de l’Age

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Powerlifting – Un Stack de Huit Semaines d’Enanthate de Testostérone et de Dianabol

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Je suis un « powerlifter » et je planifie mon premier cycle avec pour objectif l’augmentation de la taille et de la force. Si je fais un cycle avec de l’énanthate de testostérone à 500 mg/semaine, du Dianabol pour démarrer à 25 mg/jour pendant 4 semaines, de l’HCG à 250 UI 3 fois/semaine, et de l’Aromasin comme anti-œstrogène, quel serait le meilleur plan pour la récupération ? Je pensais faire 12 semaines. J’entends souvent qu’il faut faire des cycles longs d’énanthate de testostérone vu qu’ils ont tendance à n’avoir d’effet qu’à 6 semaines ou plus tard. Vaudrait-il mieux que je garde les 8 à 10 semaines en augmentant légèrement le dosage et en faisant un frontload? Ou bien devrais-je juste faire les 12 semaines de mon plan original. Je voulais faire 3 cycles de 8 semaines par an comme vous le recommandez mais il semble que cela ne fonctionne pas bien avec un ester long. Est-ce vrai?”

A: L’énanthate de testostérone peut très bien être utilisé de manière efficace dans des cycles de 8 semaines. Des résultats médiocres avant la 6ème semaine sont la conséquence d’une ou de plusieurs de ces raisons : dosage inadéquat, défaut de frontloading (injection anticipée), problèmes d’entrainements et/ou problèmes nutritionnels.

Si vous avez programmé une utilisation à un dosage par exemple de 500 mg/semaine, si vous faites un frontload vous injecterez par exemple 600 mg le premier jour. Cela ramènera rapidement les mêmes concentrations que vous allez maintenir pendant le cycle.

Ceux qui, depuis le début, ne se sont injectés que 250 mg en une fois commencent avec des taux qui ne sont pas plus élevés que ce qu’on obtient à la longue avec 200 mg/semaine en prise continue. Ce n’est pas étonnant qu’il faille du temps pour que leurs résultats soient apparents.

Donc, frontloadez.

Avec l’énanthate de testérone, le Jour 1, prenez votre dose régulière plus environ 5/7 ou 70% de votre dose hebdomadaire. La quantité n’a pas à être exacte au milligramme près.

Je recommanderais la prolongation de la prise de Dianabol à 6 semaines, et ce, durant les 6 dernières semaines du cycle plutôt que les premières.

J’envisagerais d’augmenter la testostérone à 750 mg/semaine durant les semaines sans Dianabol.

Donc en suivant ce plan, votre première injection serait de 250 mg plus environ 535 mg, ce qui est assez proche de la valeur adéquate de 750 mg. Par la suite, faites des injections 3 fois/semaine. Lorsque vous commencez la prise de Dianabol, vous pourrez réduire la testostérone à deux fois par semaine, ou la maintenir à 750 mg/semaine, selon vos préférences. Au cours de la dernière semaine, ne faites que la première injection de testostérone, sa durée d’action couvrira le reste de la semaine.

J’arrêterais la prise de HCG au cours de l’avant-dernière semaine.

Des cycles de 8 semaines sont préférables pour une meilleure récupération.

L’aromasin peut être extrêmement efficace dans le contrôle des œstrogènes au cours de tels cycles, mais je ne pense pas qu’il soit possible de prédire précisément les doses nécessaires. Si vous devez utiliser de l’aromasin, je pense qu’il serait bon de commencer à une dose de 25 mg une fois tous les 3 jours. Je préfère le létrozole à 1mg/jour car il est plus prévisible. En fait, l’aromasin est un inhibiteur irréversible qui détruit l’enzyme aromatase, et la quantité nécessaire pour une destruction correcte est quelque peu imprévisible. Au contraire, le létrozole et l’anastrozole sont des inhibiteurs compétitifs dont les effets sont liés directement à leur concentration sanguine. Ils ont donc une tendance à être plus prévisibles.

Il est possible d’entrer en phase de relance avec seulement un inhibiteur de l’aromatase, mais je préfère plutôt utiliser du Clomid ou du Nolvadex suivant les protocoles usuels.

Powerlifting – Un Stack de Huit Semaines d’Enanthate de Testostérone et de Dianabol

Powerlifting – Un Stack de Huit Semaines d’Enanthate de Testostérone et de Dianabol

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Temps mort entre les Cycles de Stéroïdes chez les Hommes en Thérapie de Remplacement de Testostérone (TRT)

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Article source: MESO-Rx français

Q: “Je viens juste de lire l’article concernant l’intervalle de temps entre les cycles. Dans votre analyse, le but principal est la récupération de production de testostérone naturelle. Mais qu’en est-il des gars qui sont sous TRT et qui ne souhaitent pas récupérer ? Est-ce que la normalisation des lipides ou de la numération des globules rouges font partie de la norme ? Manifestement, nous avons besoin d’un certain temps mort, mais quelles en sont les bornes? »

A: Pour ceux qui ont une bonne capacité à produire de la testostérone naturelle, la véritable raison du temps mort est de contribuer à maintenir cette capacité. Cependant, la durée du temps mort est habituellement plus longue que ce que nécessite cet objectif.

Parmi les autres raisons de cet arrêt, il y a le fait de permettre à l’organisme d’avoir plus de temps avec un profil lipidique sain plutôt que malsain, et de permettre au cœur d’avoir plus de temps avec des taux normaux plutôt qu’élevés d’androgènes, ces derniers pouvant favoriser l’hypertrophie ventriculaire gauche.

Le maintien d’un hématocrite sain (pas plus élevé que 53%) peut aussi être une des raisons. L’hématocrite est en lien avec la numération des globules rouges mais elle n’est pas exactement la même parce qu’elle concerne plus le volume que le nombre.

Il n’est vraiment pas possible de donner des réponses totalement certaines. Il y aura des gars qui seront restés sous stéroïdes anabolisants à une dose disons de 500 mg pendant une décade, ou plus à la fin, et qui jureront qu’ils vont très bien. Il y a aussi beaucoup d’athlètes de force qui sont morts prématurément, tout comme beaucoup n’ont jamais utilisé de drogue améliorant la performance et sont morts jeunes.

Mais je m’attends à ce que plus la quantité annuelle de stéroïdes anabolisants et/ou le nombre de semaines par an à des taux supra-physiologiques, plus les effets secondaires sur la santé sont cumulatifs. Je recommanderais une limitation à environ 25g/an au total pour des résultats efficaces et conservateurs, 30g/an pour des résultats quelque peu agressifs, ou 35g/an pour une approche encore plus agressive. En termes de pourcentage du temps «avec» contre le temps «sans», ce serait le même qu’avec ceux qui voudraient maintenir une bonne production de testostérone naturelle. Lorsque la durée de temps mort est doublée par rapport au temps avec, cela est conservateur. Une durée égale «sans» et «avec» est plus agressive. Et deux fois plus de temps «avec» que «sans» est très agressif.

Cherchez impérativement à obtenir un profil lipidique sain la majeure partie du temps, tout comme des valeurs normales.

Temps mort entre les Cycles de Stéroïdes chez les Hommes en Thérapie de Remplacement de Testostérone (TRT)

Temps mort entre les Cycles de Stéroïdes chez les Hommes en Thérapie de Remplacement de Testostérone (TRT)

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Une Réévaluation des Effets des Stéroïdes Anabolisants sur les Tendons

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Article source: MESO-Rx français

Q: J’ai lu que l’utilisation de la testostérone affaiblissait la croissance des tendons, que du Déca et l’EQ la favorisaient, et que le Winstrol fragilise les tendons. Je ne sais vraiment pas quoi faire vu que des études sur un rat ne dit pas toute l’histoire. J’aime la testostérone et je ne suis pas un fan du Déca ou de l’EQ, et j’aime bien aussi le Winstrol. Cependant, une déchirure du tendon est la dernière chose qu’il me faut, en particulier comme j’aime m’entrainer sur des séries légères. Quelle est le vrai point avec les stéroïdes anabolisants et la croissance, la force ou la fragilité des tendons? »

A: Dans ce cas, les résultats des études sur les animaux est vraiment à remettre en question. Il y a la raison manifeste selon laquelle les résultats chez les humains diffèrent souvent des résultats chez un animal donné, mais il y plus encore.

A savoir que les chercheurs n’ont pas réussi à contrôler le taux d’œstrogènes chez les sujets animaux. Ceci, malgré que ce soit bien connu que les taux élevés d’œstrogènes affaiblissent la croissance du tendon, et les taux d’œstrogènes anormalement bas favorisent la fragilité des tendons.

Approximativement, tout bodybuilder aurait pu dire aux chercheurs que les taux d’œstrogènes augmenteraient lorsque la testostérone était administrée à des doses supra-physiologiques, que les taux d’œstrogènes pourraient rester normaux lors de l’administration de Déca ou d’EQ à des doses efficaces, et que les taux d’œstrogènes chuteront en dessous de la normal lorsque le Winstrol est utilisé seul à des doses efficaces.

Aussi, les études ne fournissent aucune information sur les effets des androgènes eux-mêmes. Les résultats pourraient être entièrement expliqués depuis les quantités élevées d’œstrogènes qui suppriment la croissance du tendon, aux quantités anormalement faibles entrainant la fragilité, sans qu’il n’y ait forcément eu de différence entre les androgènes eux-mêmes en termes d’effets directs.

Vu que les taux d’œstrogènes sont maintenus dans la fourchette normale, je ne crois pas du tout que l’utilisation de testostérone entrainerait des problèmes de tendons. Les améliorations au niveau des tendons observés avec l’utilisation de Déca ou d’EQ peuvent ne pas être la conséquence d’une quelconque force du tendon plus grande qu’avec ce qui est atteint avec l’utilisation de testostérone et les taux normaux d’œstrogènes.

Lorsque les taux d’œstrogènes sont normaux, le Winstrol n’est pas dangereux pour l’élasticité du tendon. Néanmoins, par précaution, j’éviterais d’utiliser le Winstrol sur de nombreuses semaines dans l’année. Le seul fait que des taux faibles d’œstrogènes auraient pu être l’explication complète des résultats chez les animaux ne signifie pas que le Winstrol (stanozolol) n’aie pas non plus contribué à la fragilité. Une étude in vitro montre que le stanozolol affecte la production de collagène des fibroblastes de la peau d’une manière différente du nandrolone. Ceci suppose qu’il pourrait y avoir plus dans la différence entre le Winstrol et les autres androgènes qu’un simple effet différent sur les taux d’œstrogènes.

Une Réévaluation des Effets des Stéroïdes Anabolisants sur les Tendons

Une Réévaluation des Effets des Stéroïdes Anabolisants sur les Tendons

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Les Demi-vies des Stéroïdes Anabolisants et des Médicaments du Culturisme les Plus Courants

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Article source: MESO-Rx français

Q: « Je voudrais connaitre les vraies demi-vies des stéroïdes anabolisants les plus connus, de la T3, du clenbutérol et des anti-œstrogènes. Pouvez-vous publier les demi-vies, vu qu’il y a tellement de publications différentes sur Internet? »

A: Il est courant de voir des valeurs publiées qui soient différentes parce que les études pharmacocinétiques sont souvent effectuées sur seulement quelques sujets en même temps, et qu’il peut y avoir une variabilité considérable entre les sujets. En plus, il y a au final une confusion entre le processus d’élimination et le processus de distribution, ce qui est variable notamment dans la partie initiale du processus. Par exemple, les valeurs rapportées des demi-vies pour le nandrolone chez l’humain varient de 7 à 12 jours.

Pour cette raison, il est préférable de ne prendre aucun rapport excessivement à la lettre, mais plutôt d’avoir une lecture de toutes les données disponibles. Heureusement, la demi-vie des stéroïdes anabolisants est étroitement liée à une propriété prévisible, le coefficient de partition (ceci est en général égal au ratio entre la solubilité des lipides et la solubilité de l’eau). Comme la seule différence entre deux esters de stéroïdes se trouve dans le nombre d’atomes de Carbone – leur arrangement étant similaire! – chaque atome de Carbone rajouté augmente la demi-vie d’environ un jour.

Avec cette information, il est aussi possible d’avoir des données sur les demi-vies de stéroïdes similaires en estimant la demi-vie d’un seul stéroïde.

Dans le but de calculer la récupération ou de calculer le frontloading, ces schémas ont toujours fonctionné pour les demi-vies des stéroïdes anabolisants:

  • Ester de Acétate: environ 1 jour
  • Ester de Propionate: environ 2 jours
  • Ester de Phénylpropionate: environ 3 jours
  • Ester de Enanthate: environ 5 jours
  • Ester de Cypionate: environ 6 jours
  • Ester de Décanoate: environ 10 jours
  • Ester de Undecanoate: Non établie par l’expérience. Par extrapolation, probablement d’environ 11 jours. Ne semble pas excéder 14 jours ou plus, mais moins de 11 jours. J’utilise 14 jours pour le calcul de la récupération dans le cas de l’Equipoise, bien que cela puisse être un nombre plus grand que nécessaire.

En ce qui concerne le stéroïde parent, la théorie suggèrerait l’addition d’un jour pour le 19-nor, la soustraction d’une petite quantité pour la réduction 5-alpha, ou l’ajout d’une petite quantité pour avoir plus d’un lien double, et un certain ajustement inconnu pour les différences de métabolisme des médicaments. Mais dans la pratique, il semble ne pas y avoir nécessité de tels ajustements. Calculer uniquement pour l’ester semble suffisant.

La demi-vie de la T3 varie selon les individus mais grossièrement d’environ 1 jour. Dans la pratique, la valeur numérique n’est d’aucune utilité parce que la T3 ne devrait pas être injectée en frontload, et il n’est pas important de calculer quel jour il a été éliminé.

La demi-vie du clenbutérol est d’environ un jour et demi.

Le clomiphène, le tamoxifène et le torémifène ont tous des demi-vies d’environ 5 jours. Les inhibiteurs de l’aromatase : anastrozole et letrozole ont des demi-vies d’environ 2 jours.

Les Demi-vies des Stéroïdes Anabolisants et des Médicaments du Culturisme les Plus Courants

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